Les plaisanciers du Cap d’Agde étaient de plus en plus nombreux à dénoncer la gestion dont ils sont les premières victimes.
D’abord à le dire, puis à l’écrire, avec prudence et réserve, craignant le non renouvellement de leur contrat d’amarrage en guise de représailles.
Cette fois, la vérité est sur la place publique.
Bravo pour la démarche.