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Revue Presse : Apprendre le kitesurf sur l´étang d´Ingril est désormais possible

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La vitrine d’Optimum, une boutique sur l’avenue d’Ingril à quelques pas de l’étang.
© D.R

Midi Libre 07/05/2011

De l’eau douce, peu profonde, beaucoup de vent. L’étang d’Ingril est "un endroit où ça va bien. Il est classé dans les dix premiers spots français et son potentiel est impressionnant" estime Sylvain Hoceini qui vient de déménager son école de Palavas à Frontignan. Optimum existe depuis 1999 et son responsable est un véritable champion (lire ci-dessous) qui entraîne également, des jeunes, en compétition. "C’est pas pour ça qu’on est un meilleur professeur. Il faut chaque fois s’adapter au profil des élèves ; parfois, ça ne passe pas." Ceux qui ont envie d’apprendre cette discipline en passant par une école - "c’est plus cher mais plus efficace"- sont nombreux autant parmi les femmes que parmi les hommes.

"Le kite, c’est plus que tendance. Aujourd’hui, en France, on est 30 000 ; dans dix ans, on sera 300 000 autant que les skieurs. Du coup, il faudra trouver des aires de décollage supplémentaires." Dès qu’on atteint 25 kg, on est assez lourd pour tenir sa voile. Avant d’envisager un premier départ, il faut passer par une préparation nécessaire à terre : météo, vents, montage du matériel, règles de sécurité. Après... «Deux jambes, deux bras et un cerveau, ça suffit. Il y a quatre gestes : on pousse, on tire, on tire et on tire. Il faut savoir guider le cerf-volant." Vu comme ça, ça a l’air facile. "Oui, c’est facile, écologique et enivrant. Du coup, il faut savoir s’arrêter à temps." Un stage de quatre heures (490 ) permet d’apprendre à se débrouiller. Ensuite, il faut compter 1 500 de matériel. "Les associations, comme Inkiwi, à Frontignan, permettent de pratiquer et de progresser."

Isabelle JUPIN



Publié le : Samedi 07 mai 2011