Photo Sylvie CAMBON |
Le premier été, en 2007 , les conditions météo n'étaient pas caniculaires pour savoir si l'expérience était concluante. Cet été, « c'était mitigé », dit Philippe Ortin, président de la SRC. Flottant dans le port du Mourre-Blanc, à Mèze, les deux hydroliennes-test, alimentées en électricité par des panneaux solaires, et qui sont censées brasser l'eau de l'étang pour mieux l'oxygéner et limiter les effets d'étouffement de la malaïgue, ont finalement peu servi car « il n'y pas eu d'épisode de très fortes chaleurs ».
De toute façon, le système sera bientôt adapté qui sera « directement branché sur les tables conchylicoles sans leurs flotteurs ». Ce sera peut-être plus efficace et joli. Comme un brassage dans un aquarium géant. « Si c'est concluant, on posera 400 ou 500 hydroliennes. On fera un achat collectif... »