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Midi Libre le 04/08/2022
Ce mardi 2 août, en fin de matinée, le directeur de l'Aire marine protégée de la côte agathoise Renaud Dupuy dela Grandrive a pu photographier deux groupes d'une quinzaine de dauphins très au large du Cap-d'Agde. "Des rencontres toujours magiques avec les grands dauphins", a-t-il commenté.
Il était à bord du Catalina (Les Bateaux Agathois), labellisé pour observer les dauphins, au moment de cette jolie rencontre qui a permis "une séance de photo-identification".
A noter que la "veille au soir, déjà, ils étaient juste en face du Grau-d'Agde. Et ce jeudi, ils sont encore bien au large, en face de Valras", confie le spécialiste.
Mélissa Alcoléa
Publié le : Jeudi 04 août 2022
Midi Libre 01/08/2022
Un vibrant hommage aux disparus en mer pour une 41e édition à l’image des précédentes.
Cette nouvelle édition de la Fête de la mer n’a pas dérogé à la règle. Elle a encore une fois été très suivie et a réuni plusieurs centaines de locaux et de touristes sur les quais Beaupré et Jean-Miquel notamment. Du tournoi de joutes le samedi soir au bal de clôture le dimanche soir, une grande partie du folklore local a été mise à l’honneur pendant deux jours.
Cependant, le point d’orgue de ces festivités était ce dimanche 31 juillet au matin. Le départ des plaisanciers, des petites embarcations et de l’Amiral de la Marine nationale au large du Cap-d’Agde pour y lancer des gerbes étaient, cette année encore, le point culminant d’une fête où l’émotion est de mise.
Hommage à ceux disparus dans la grande bleue Les élus et le Père Yannick Casajus, qui venait tout juste de bénir les bateaux, ont lancé des fleurs en mer pour rendre hommage à ceux disparus dans la grande bleue. Pendant que l’association de marins et marins anciens combattants portait le drapeau français pour "porter les honneurs", comme le répète son président, Bernard Fournie.
Le tout accompagné de bout en bout par la peña Bienvenida qui a poursuivi le show pendant l’apéritif de midi. Avant que ne prenne le relais la scène installée sur le Vieux-Port pour clore en beauté, et avec quelques petits pas de danse, un week-end d’hymne à la Méditerranée qui a plus que jamais résonné dans les têtes des marins, des pêcheurs mais aussi des touristes.
Paul-Roch BRUNETON
Publié le : Lundi 01 août 2022
Midi Libre 01/08/2022
Les ports de Marseillan (ville et plage), Vendres et du Cap adhèrent à "Je navigue, je trie".
Cet été, 95 ports sont mobilisés, dans toute la France, contre les déchets marins via le programme "Je navigue, je trie" mené par l’association Gestes propres, qui incite les plaisanciers à trier leurs déchets à bord et les rapporter au port. Le slogan retenu pour cette 12e édition est "Rien par-dessus, tous mes déchets au port".
Vingt-cinq nouveaux ports ont rejoint le mouvement cette année, dont deux sur le littoral biterrois : Marseillan ville et Marseillan plage, qui viennent donc s’ajouter aux ports de plaisance du cap – d’Agde et de Vendres (le Chichoulet) déjà investis. Cette année, le dispositif bénéficie d’une nouvelle identité visuelle : un cercle représentant la terre, avec, à l’intérieur des formes graphiques pour symboliser la mer, la navigation et la circularité, le tout pour bien insister sur l’idée d’une préservation générale de la planète bleue.
Sur l’affiche de signalisation installée dans chaque port, les bons gestes sont détaillés, en cinq langues cette année. Les messages sont écrits simplement, pour rappeler, par exemple, que même un trognon de pomme ne doit pas être jeté en mer car il n’est pas assimilable par le milieu.
Les plaisanciers, et c’est aussi valable pour ceux qui, par exemple, pourraient prendre un goûter sur leur pédalo ou kayak, doivent absolument rapporter leurs détritus au port. Ils doivent aussi les trier. Les ports participants ont donc mis en place un dispositif complet de collecte et de tri.
Autre mesure : des cabas réutilisables dédiés au tri des emballages et papier sont remis aux plaisanciers et un distributeur de sacs-poubelles pour un self-service 24 h/24 est mis à leur disposition. Des cendriers de poche sont aussi proposés. Des équipes des ports assurent également la sensibilisation des plaisanciers.
Antonia Jimenez
Publié le : Lundi 01 août 2022
Vous voulez en savoir plus sur la zone de mouillage écologique de Brescou, nous vous invitons à venir découvrir notre présentation cartographique Visualiser
Publié le : Samedi 30 juillet 2022
Depuis des années infocapagde essaie de vous informer sur la vie de nos ports et la pratique de la plaisance dans nos ports et notre région. Nos développements cartographiques sont devenus des références qui sont appréciées au delà de notre périmètre local.
Il manquait une rubrique sur la conduite à tenir au commande de votre unité qu'elle soit à moteur ou à voile.
De manière ludique, nous avons réalisé une page qui vous permettra de réviser les connaissances que vous avez en matière de réglementation pour prévenir les abordages.
Venez la découvrir en cliquant sur ce lien
Publié le : Vendredi 01 juillet 2022
L’épave avait été remontée accidentellement par un chalutier du Grau d’Agde.
Midi Libre 06/07/2022
Le 30 novembre 2020 le navire faisait naufrage. Deux hommes sont décédés.
Christian Arnaud, le patron du Romain Luca, un chalutier du Grau d’Agde qui a fait naufrage au large d’Agde le 30 novembre 2020 a été mis en examen pour des faits d’homicides involontaires, d’exécution d’un travail dissimulé et d’escroquerie.
Il a été placé sous contrôle judiciaire strict par le juge des libertés et de la détention dans l’attente de son procès qui se tiendra à Béziers le 28 novembre prochain devant le tribunal de Béziers. Le capitaine, âgé de 61 ans, doit pointer régulièrement devant les policiers du commissariat de Béziers.
Pour les deux homicides involontaires il encourt une peine de 5 ans d’emprisonnement et 75 000 € d’amende. Pour l’exécution du travail dissimulé, 3 ans de détention et 45 000 € d’amende et pour l’escroquerie 5 ans d’emprisonnement et 375 000 €.
Christian Arnaud conteste une partie des faits qui lui sont reprochés notamment l’escroquerie et des fautes ayant causé les homicides involontaires. "Il affirme, selon le parquet de Béziers, qu’il n’a pas eu le temps d’utiliser les équipements de secours en raison de la gîte trop importante du navire et qu’il avait tout tenté pour sauver les deux marins."
Dans la nuit du 29 au 30 novembre 2020, Christophe et Sébastien Gil, 23 et 33 ans, deux frères, sont décédés lors de ce naufrage.
Dans l’attente de la décision de justice 80 000 € ont été saisis par les gendarmes en charge du dossier le 18 février 2021, sur le plan épargne logement du capitaine du navire et 25 580 € retrouvés en espèces au domicile de ce dernier et dans son coffre.
Selon le parquet de Béziers, à l’issue des enquêtes des militaires de la gendarmerie maritime de Port-la-Nouvelle et de Marseille, mais aussi du rapport du BEA Mer (Lire Midi Libre du 25 juin) de nombreux éléments ont été établis.
Il ressortirait, selon le parquet de Béziers : "Les règles de sécurité n’ont pas été respectées par le capitaine, avec notamment l’absence de formation et d’utilisation du matériel de secours. Mais aussi que l’un des deux frères marins-pêcheurs travaillait illégalement à bord, sans être déclaré ni même titulaire d’un brevet professionnel. Il ressort encore que le permis de navigation n’autorisait que deux personnes à bord."
Et le parquet de rajouter : "En commettant des fautes d’une particulière gravité qu’il ne pouvait ignorer en l’espèce en embarquant sur le Romain Luca à trois marins alors que le permis de navigation n’en autorisait que deux, en allant naviguer avec un bateau de la quatrième catégorie au-delà de la zone autorisée des 5 milles, en s’abstenant d’alerter les secours alors que les circonstances le commandaient, et alors qu’il ordonnait l’abandon du navire, en ne demandant pas à ses marins-pêcheurs de revêtir un VFI, et en ne mettant pas à l’eau le radeau de sauvetage."
L’envoi de robots sous-marins le 26 mai 2021, dans le cadre d’une collaboration du parquet de Béziers et du BEA mer, puis le renflouement du navire le 19 janvier 2022 au port de la criée du Grau d’Agde après avoir été accidentellement crocheté par un autre chalutier, qui pêchait dans une zone où le Romain Luca avait été protégé par une interdiction de pêche dans ce secteur, permettent à l’expert judiciaire et au BEA mer de privilégier l’hypothèse d’une déconnexion d’un flexible d’évacuation de l’eau sur le pont du navire comme étant à l’origine de son enfoncement par l’arrière, puis de son chavirage dans une eau à 16° et une mer agitée.
Jean-Pierre AMARGER
Publié le : Samedi 09 juillet 2022
Midi Libre le 03/07/2022
L'opération a eu lieu ce dimanche matin, à 1,5 kilomètre environ du fort Brescou. Le résultat de 3 ans de travail mené par l'Aire marine protégée d'Agde et la société montpelliéraine Seaboost.
Objectif : proposer une zone de plongée alternative dans le but de préserver des sites sous-marins naturels extistant qui étaient sous-pression.
Ce dimanche 3 juillet, fin de matinée, à bord du Catalina, journalistes, élus locaux, ingénieurs et curieux n'ont d'yeux que pour cette immense structure en impression 3D béton et béton armé suspendue à une barge, en attente d'être immergée. Contenu embed Twitter Au large du Cap-d'Agde, à environ 3 kilomètre de la côte, c'est un récif artificiel qui est sur le point d'être plongé à 20 mètres de profondeur sur le sable. "Le projet était de concevoir un village de récifs de déport de pression", explique Joffrey Capet, ingénieur éco-conception pour la société montpelliéraine Seaboost, et qui a travaillé pendant 3 ans sur le dessin 3D et le dimensionnement mécanique de ce village.
En clair : il s'agit de proposer un site de plongée alternatif pour préserver les sites en zone naturelle qui sont en train de se dégrader et leur permettre de se régénérer. "On a par exemple ici, le roc de Brescou, coraligène, riche en biodiversité". Et la réserve marine du roc de Brescou permet depuis 2020 de protéger intégralement 310 hectares où la plongée et la pêche sont interdites. "On ne supprime pas, on substitut. C'est un défi de taille de concilier l'attractivité pour la biodiversité et pour les plongeurs", poursuit l'ingénieur. les clubs de plongée ont d'ailleurs été associés au projet.
Autre défi majeur : le défi technologique celui-là. Le plus gros récif, celui sur lequel tous les regards sont posés ce dimanche, pèse 105 tonnes et mesure 6,5 mètres de haut. Il s'agit d'une structure hybride en impression 3D béton bas carbone et en béton armé réalisée sur le port de Sète. "Des bétons biogène ont été utilisés, ils facilitent la colonisation des organismes". Pour toutes ces raisons et pour sa complexité architecturale, "la plus biométique possible", ce récif constitue "une première mondiale" pour lequel des études poussées ont été menées.
Dix autres petits récifs à vocation écologique ainsi qu'une pyramide en forme d'éboulis cumulant 30 blocs de roche naturelle vont également être immergés jusqu'à lundi pour compléter le site dont l'accès aux plongeurs ne sera autorisé qu'après la fin des travaux, d'ici quelques jours.
Labellisé par le ministère de l'Environnement, le projet a été lauréat du PIA, Programme d'investissement d'avenir. "Il a coûté 600 000 euros tout compris, ce qui est relativement peu", estime Renaud Dupuy de la Grandrive, le directeur de l'Aire marine protégée agathoise. "Nous avons donc eu 80 % de financement de l'Ademe, de la Région et de l'Etat via le Plan Littoral 21", poursuit le directeur.
La Ville d'Agde a complété les 20 % restant, à savoir 120 000 euros. "Cette opération est intégrée au programme plus global Récif Lab" qui comprend d'autres initiatives de la commune pour permettre le maintien et le développement de la biodiversité sous-marine (des bouées balises en mer, un ponton écologique sur Brescou...) "Cela démontre notre envie d'aller jusqu'au bout pour la protection de l'environnement et aussi de sensibiliser l'ensemble des usagers, il y 4 000 bateaux de plaisance sur le port du Cap-d'Agde, et ils font un énorme travail pour expliquer qu'on ne fait pas n'importe quoi en mer".
C'est aux alentours de midi que la structure a été plongée sur un point GPS précis et selon une orientation déterminée. Un suivi scientifique de la colonisation des poissons et de l'évolution des matériaux sera par la suite réalisé.
Mélissa Alcoléa
Publié le : Dimanche 03 juillet 2022
Vue schématique en plan des feux d’un navire à propulsion mécanique faisant route
Publié le : Mercredi 29 juin 2022
Une opération délicate pour faire sortir le Rio Targus du port de Sète. (©RO)
Info Métropolitain 25/06/2022
Le cargo Rio Tagus était abandonné dans le port de Sète depuis 10 ans. Suite à l’appel d'offres de la Région Occitanie en 2021, il va être démantelé à Brest.
Tôt ce samedi 25 juin, le Rio Tagus a été remorqué depuis son emplacement quai Paul Riquet vers le Port de Commerce de Sète, où il a été pris en charge par le navire semisubmersible Yacht Express, arrivé hier dans les eaux sétoises. À bord de ce dernier, le Rio Tagus va désormais rejoindre Brest afin d’être déconstruit par la société bretonne Navaleo, qui a remporté l’appel d’offres lancé par la Région Occitanie en 2021 pour le démantèlement du navire.
Abandonné dans le port de Sète depuis plus de dix ans, le Rio Tagus est un cargo de 80 mètres de long pour 14 de large datant de 1979. Face à l’abandon du navire par son nouveau propriétaire et malgré les tentatives de conciliation du port avec lui, la Région Occitanie a engagé une procédure d’expulsion auprès du tribunal administratif. Après 18 mois de procédure, la Région a obtenu l’autorisation, par décision du 21 novembre 2020, d’assurer le démantèlement aux frais et risques de son propriétaire.
Après l’annulation du premier convoi en juin 2021 en raison d’un problème d’assiette du cargo, les services portuaires de la Région et l’entreprise Navaleo ont travaillé sans relâche ces derniers mois pour stabiliser la coque du Rio Tagus et sécuriser son transfert. Celui-ci a pu se dérouler sans encombre au petit matin ce samedi 25 juin avec le remorquage du navire vers le quai H du port de commerce, où se situe le Yacht Express, arrivé hier à Sète.
Le navire a ensuite été chargé dans le radier du Yacht Express, qui repartira en soirée direction Brest. A son arrivée, le Rio Tagus sera immédiatement transféré vers la forme de radoub de l’entreprise Navaleo, où les travaux de déconstruction pourront démarrer.
« La longue attente des Sétoises et sétois prend fin, c’est une véritable satisfaction. Je tiens à féliciter et remercier l’ensemble des équipes portuaires de la Région, qui ont préparé pendant des mois cette opération délicate, ainsi que la capitainerie, les pilotes lamaneurs et les remorqueurs du port de Sète, qui par leur implication et leur professionnalisme, ont été gages de la réussite de cette opération » a salué la présidente de la région Occitanie Carole Delga.
Publié le : Samedi 25 juin 2022
Lorsque deux navires à voile s’approchent l’un de l’autre de manière à faire craindre un abordage, l’un d’eux
doit s’écarter de la route de l’autre comme suit :
Dans la situation ci dessus, les navires à voile reçoivent le vent d’un bord différent. Le navire « A » qui reçoit le vent de bâbord doit s’écarter de la route du navire « B ».
Publié le : Vendredi 24 juin 2022
La régate junior du Critérium Européen a été gagnée par le Sétois
Midi Libre 06/06/2022
Quarante-cinq bateaux ont disputé, à Sète, le Critérium Européen de Catamaran Classe A.
Après deux années pour le moins perturbées, Voile Fun Sète, club de voile légère, a organisé dernièrement au Barrou le Critérium Européen Catamaran Classe A, une des quatre étapes majeures de cette série. Espagne, Italie, Belgique, Royaume-Uni, Suède, Suisse étaient ainsi présents, tout comme de nombreux Français venus de tout l’Hexagone, pour prendre le départ.
Au total, ce sont quarante-cinq bateaux qui se sont disputé les podiums dans trois catégories : Volants, Classic et Juniors.
En Volants, c’est le Suisse Dony Loic qui s’imposait. En Classic, la victoire est revenue au Français Albert Roturier. Et la touche locale est venue de Florian Matarin, puisque le jeune Sétois qui courait pour la première fois en solitaire a remporté la régate en juniors.
Une belle réussite pour le club Voile Fun Sète, aidé par un nombre important de bénévoles sur ces quatre jours de compétition. L’accueil, sur l’eau comme à terre, a ainsi été salué à l’unanimité par les concurrents.
JÉRÔME BELLUIRE
Publié le : Lundi 06 juin 2022
L'application "positionner son bateau sur la carte en deux clics" est unique sur le net. Très facile à utiliser, elle est bien commode pour indiquer à ses amis où se trouve votre bateau dans le port.
Très ludique, elle est cependant réservée aux membres inscrits en raison des contraintes de l'enregistrement des données qui sont nécessaires à son fonctionnement.
En croisière, elle est également bien pratique car elle permet de suivre le positionnement géographique du bateau, ce qui permet à des plaisanciers amis de vous rejoindre dans une crique ou un port. Une seule contrainte : disposer d'une connexion internet ce qui est toujours le cas en navigation côtière.
Un plus également, c'est l'adaptation automatique du site quelque soit le support. Le site s'adapte à la consultation sur un téléphone portable, une tablette ou un ordinateur. C'est un point fort de nos derniers développements.
Si nos travaux qui sont réalisés complétement bénévolement vous plaisent, dites le à vos amis, à vos voisins de ponton...
Publié le : Dimanche 05 juin 2022
La société Seaboost et l’Agglo ont effectué un premier point d’étape, lundi 30 mai au matin
Midi Libre 31/05/2022
La plage du Grau d’Agde retrouvera-t-elle sa splendeur passée ? C’est tout l’objet du projet expérimental actuellement mené au large de celle-ci, par la société montpelliéraine Seaboost.
Qui vise à recréer les conditions d’une mangrove au moyen de modules spécialement étudiés, afin que ces derniers puissent casser l’effet des vagues et des courants, tout en laissant passer l’eau, évidemment, et surtout permettre à la plage, "en déficit sédimentaire" , comme l’a aussi constaté Julien Dalle, l’un des concepteurs du projet, de se recharger en sable.
Ce qui ne sera pas pour tout de suite, notez bien. La première phase d’expérimentation de l’atténuateur de houle prévoit, en effet, l’immersion d’une quarantaine de ces éléments indépendants les uns des autres, qui reposent sur des pieux de 8,30 m, enfoncés de 6 m dans le sable. Ils ont été fabriqués en béton biogène et en bois. Une première mondiale.
En attendant les premiers retours d’expérience, Seaboost va d’abord s’attacher à effectuer un suivi précis des modules, qui ont pour modèle les racines de palétuviers. "Il y aura trois sortes d’observations, explique Julien Dalle. Un suivi hydro-sédimentaire, avec des mesures d’énergie des vagues, des courants, les hauteurs de sable, un suivi écologique pour observer les espèces qui vont s’installer dans ces modules et un suivi plus structurel pour évaluer le vieillissement des objets immergés."
Plusieurs mois d’études qui seront capitaux pour affiner le positionnement des 140 autres modules.
Olivier Raynaud
Publié le : Mercredi 01 juin 2022
A Béziers, il existe une caverne d'ali baba pour les moteurs de bateaux, c'est le "Hangar Marin" situé 14 quai port notre dame.
C'est une entreprise atypique dans le nautisme en Languedoc Roussillon. En effet le materiel nautique neuf est bien souvent onéreux , au Hangar Marin des pièces d'occasion vous sont proposées à moindre coût, vous pouvez acheter et même déposer votre materiel.
Vous êtes professionel ou particulier, venez rencontrer Xavier qui aura sans doute des solutions à vous proposer à des tarifs très attractifs.
Contact : 06.19.57.27.85
Publié le : Mardi 31 mai 2022
C'est parceque nous serons impactés par l’installation d’éoliennes flottantes en Méditerranée que nous vous proposons d'exprimer votre avis en participant à notre sondage dans le bloc sur votre gauche du site ou sur ce lien
A terme, il y a une volonté d'implanter deux parcs d'une cinquantaine d'éoliennes en méditerranée, l'implantation dans le Golfe de Lion est la cible des pouvoirs publics.
Quid du partage des lieux avec la navigation commerciale, les plaisanciers, les pêcheurs ?
Quel impact sur l'environnement et la faune dans un contexte où la Méditerranée est une mer fragile ?
Faut-il céder au chantage du bilan carbone alors que la France est à la 58 ème place dans la liste des pays pollueurs par émissions de dioxyde de carbone par habitant ?
Publié le : Samedi 28 mai 2022