L'hélicoptère Dragon de la Sécurité Civile a été envoyé sur place.DR
Midi Libre 22/10/2014
Un véliplanchiste était porté disparu depuis ce mardi en début de soirée. L'homme faisait de la planche à voile sur l'étang de Thau. Il a été retrouvé sain et sauf.
Un véliplanchiste était porté disparu depuis quelques heures sur l'étang de Thau entre Sète et Mèze. Aussitôt le Codis34 a envoyé un hélicoptère sur site, qui a permis de le localiser assez vite du côté de Bouzigues, sain et sauf. Les sauveteurs de la SNCM de Mèze et les pompiers ont secouru le véliplanchiste, visiblement dépassé par un fort vent sur l'etang en ce mardi soir.
Publié le : Mercredi 22 octobre 2014
Les daurades vont passer entre Pointe et Plagette.© D.R
Midi Libre 22/10/2014
On annonce une forte baisse des températures
Si l'on en croit les divers bulletins météo, la tramontane devrait arriver en force dès ce mardi soir avec des vents. Eole pourrait même se transformer en tempête dans la nuit de mardi à mercredi et mercredi matin. Si ce vent de nord-ouest dégagera à coup sûr le ciel, les degrés vont aussi... dégager. On annonce ainsi du 11° C “à terre” mercredi matin et un petit 8° C jeudi. Et c'est plutôt une bonne nouvelle.
Tout au moins pour les pêcheurs de daurades. Pour ces autochtones spécialistes de la traque du fameux sparidé et tous ceux qui, à l'autre bout de la France, lancent des appels sur les réseaux sociaux afin de savoir quand ils devront mettre le cap sur Sète, sa Plagette et sa Pointe Courte afin de ne pas rater cet événement quasi national.
Bonne nouvelle, donc, car ce subit coup de froid va également concerner la température de l'étang de Thau. Moins profond, il refroidit plus vite que la mer, et la chute relativement rapide de la température de ses eaux poussera inéluctablement les daurades à rejoindre fissa la Grande bleue, en passant par, notamment, la Pointe-Courte.
Où les attendront impatiemment une myriade de cannes à pêche...
Publié le : Mercredi 22 octobre 2014
Voici le parcours de la trombe marine, devenue tornade, de dimanche dernier
Midi Libre le 19/10/2014
D'après l'Observatoire français des tornades et des orages violents, Sète est l'une des villes les plus touchées en France métropolitaine.
Keraunos, soit l'émanation de l'Observatoire français des tornades et orages violents, a classé la trombe marine de dimanche dernier comme une tornade de niveau “EF0”. Une tornade puisque ce phénomène météo a touché la terre au niveau de la base nautique des Quilles.
Elle a été classée EF0 (échelle de Fujita classant les tornades de 0 - peu de dégâts et des vents de 105 km/h - à 5, dommages “incroyables” avec des vents supérieurs à 322 km/h). Cet épisode fait de Sète l'une des villes de France ayant connu le plus tornades. Keraunos signale ainsi celle du 22 octobre 1844 (EF4), du 19 septembre 1893 (EF3) et du 4 novembre 2005 (EF1).
Toutes ces tornades avaient pris naissance en mer sous la forme de trombe marine.
Publié le : Dimanche 19 octobre 2014
Mercredi soir, un voilier a demandé assistance.DR
Midi Libre 11 octobre 2014
Un sauvetage technique et périlleux a été mis en oeuvre mercredi soir pour venir en aide au propriétaire d'un voilier victime d'une avarie.
Mercredi soir, l'un des bénévoles de la SNSM Agde n'a pu toucher à son gâteau d'anniversaire... En effet, peu après 22 heures, il a été appelé, tout comme sept autres équipiers, sur une intervention en mer pour assister un voilier en difficultés car en avarie de gouvernail. Alors que la mer est agitée, le propriétaire du voilier (dont le port d'attache est à Cannes), seul à bord, s'est blessé aux jambes.
Il sera remorqué depuis son mouillage, à seulement 200 mètres du rivage devant le Grau-d'Agde, juqu'au port du Cap-d'Agde. Un sauvetage technique et périlleux. Pris en charge par les pompiers, l'homme blessé a immédiatement été transféré à l'hôpital où il a été opéré.
Publié le : Lundi 13 octobre 2014
Paquebot “classique“ et voilier se sont croisés le temps d’une escale
dans le port de Sète mercredi. Différents et majestueux
Midi Libre 09/10/2014
Ils étaient en escale ce mercredi à Sète.
L'un se fait remarquer par des mâts de 19,3 m de haut. L'autre par son impressionnante longueur de 156,7 m. Le paquebot Silver Wind et le voilier rapide à quatre mâts Star Flyer ont tous deux fait escale hier, à Sète. à leur bord, des croisiéristes aux exigences différentes mais qui se retrouvent sur un point : leur goût pour un voyage luxueux.
Avec sa capacité d'accueil de 296 passagers, le Silver Wind est aussi élégant qu'un grand hôtel. à bord, 222 membres d'équipages - soit presque autant que le nombre de passagers -, sont aux petits soins des croisiéristes. Aucune cabine simple, le Silver ne propose que des suites, aussi vastes les unes que les autres. Centre thermal, salle de dégustation de vins, espace informatique et de fitness, tous les éléments sont réunis pour savourer une croisière placée sous le signe du raffinement.
Pour information, 10 jours et 9 nuits au départ de Hong Kong (retour à Singapour) sont accessibles pour la somme de 2 950 € par personne et une virée de la même durée de Barcelone à Civitavecchia (Italie) pour 3 350 €.
Les amoureux de la marine à voile préféreront le Star Flyer, à taille plus humaine : le navire mesure 115,50 m de long pour une jauge de 170 passagers et 72 membres d'équipage. Une croisière plus informelle, sans emploi du temps imposé et dans une ambiance plus décontractée. Ponts en teck, cuivre poli, dorures étincelantes, lithographies et tableaux anciens, balustrades en acajou, les prestations relèvent toutefois du haut de gamme.
La tradition y côtoie le modernisme : si le Star Flyer est doté de deux bars, deux piscines et de spacieuses cabines, l'équipage gréait les voiles sur le pont, à l'ancienne. Côté tarif, il faut compter 1748 € pour 8 jours et 7 nuits au départ de Cannes, destination la Corse, ou encore 1 285 € pour 6 jours et 5 nuits du Canal de Panama (retour à Cuba).
LAURIE ZéNON
Publié le : Vendredi 10 octobre 2014
© D. R
Midi Libre 29/09/2014
Jusque dans les années 1960, la belle saison venue, des “nomades” installaient leur campement sur le lido. Pour pêcher.
Jusqu’à la seconde Guerre mondiale, le filet, une fois déployé en cercle, était récupéré en ses deux extrémités par deux pêcheurs sur deux barques distinctes, puis hissé sur la plage à la force des bras. Un cheval de trait fut plus tard utilisé pour mener à bien la dernière phase de l’opération, puis un tracteur.
© D. R
Jusqu’à la fin des années 1960, à la belle saison, des “nomades” venus du nord débarquaient sur cette langue de terre, dans l’axe du Castellas, après avoir traversé l’étang à bord de trois embarcations.
© D. R
Femmes et enfants aussi. Les pêcheurs, leurs épouses et enfants débarquaient sur le lido à la fin du printemps pour y vivre nuit et jour durant 3 à 4 mois. Ils n’avaient donc pas besoin de se soucier de leur bronzage...
© D. R
Partager cette photo Un pêcheur mézois pose ici dans les années 1920 sur sa barque avec deux enfants. Son costume atteste de ses origines : pantalon taille haute, gilet et bérets alors typiques de la cité du Bœuf.
Publié le : Mardi 30 septembre 2014
Une insolite faute de peinture DR
Midi Libre 22/09/2014
Le No Smoking réglementaire a un peu souffert sur ce cargo chinois amarré dans le port de Sète (Hérault).
Magnifique, ce cargo chinois entré dans le Colbert, à Sète, en fin de semaine dernière. Un navire de 166 m pour plus de 27 m de large sorti des chantiers en 2013 et qui ralliera bientôt la Corée du Sud.
Un superbe bâtiment, donc, où rien ne semble manquer. Même la peinture est nickel...
En lettre géantes Il y a pourtant un petit souci, pas si grave en terme de navigation mais assez étonnant à ce niveau de finition : lors de la construction du bateau, l'invitation au No Smoking a été peinte en lettres rouges un peu partout sur le navire.
Normal.
Mais, sur la partie la plus visible du navire, le "château", l'ouvrier a peint No SmoNking... en lettres géantes.
Raté.
Publié le : Mardi 23 septembre 2014
![]() |
On s'est affairé sur les pontons et les bateaux durant cette journée consacrée à l'entretien. (© D.R) |
Midi Libre 19/11/2012
Fondée voici plus d'une quarantaine d'années, l'association des Palangriers d'Agde et du Cap, dont la vocation première demeure la pêche côtière, a plus que jamais le vent en poupe.
Avec près de 140 adhérents pour une flotte de 73 bateaux, le club du président Alain Lassierra se veut toujours aussi dynamique, en mer comme à quai, et ce tout au long de l'année. Les conditions météo n'étant pas franchement propices à la pêche à la palangre ces jours-ci, une vingtaine de membres se sont réunis sur l'Ile des Loisirs, face à l'ancien hôtel du Golfe.
C'est là que les Palangriers bénéficient de leurs propres installations portuaires
"En fait, la création du club est antérieure à celle de la station, explique Jean-Louis Guggisberg.
Au départ, les bateaux étaient amarrés au Canalet, avant que nous ayons l'autorisation de nous installer derrière ce qui allait devenir le casino.
" Un emplacement idéal, près de l'embouchure de l'avant-port, dont les Palangriers eurent la jouissance à moindre coût. "Il n'y avait que des contribuables agathois dans l'association. Il était hors de question pour nous de payer une redevance supplémentaire pour amarrer les bateaux", sourit aujourd'hui le secrétaire de l'association.
Après moult négociations, c'est finalement Paul Balmigère, maire de Béziers et président de la Sebli de 1977 à 1983, qui autorisa les Palangriers à utiliser les bassins à titre gracieux.
Avec une contrainte toutefois : assurer l'entretien des pontons, du quai ainsi que des réseaux d'eau et d'électricité. Ce qui a une nouvelle fois été fait samedi dernier, durant une bonne partie de la journée.
à cette occasion, deux plongeurs munis de bouteilles à oxygène ont débarrassé les bassins de leurs encombrants, tandis que les plaisanciers en profitaient notamment pour refaire les amarres, dont certaines étaient endommagées.
En effet, à la fin du mois d'août, plusieurs fêtards éméchés sortant de discothèque au petit matin n'avaient rien trouvé de mieux que de détacher des bateaux, casser des antennes radio et jeter des capots de moteur par-dessus bord. Une péripétie de plus dans la déjà longue histoire des Palangriers...
OLIVIER RAYNAUD
Publié le : Mercredi 21 novembre 2012
![]() |
La majorité des interventions concerne "des plaisanciers mal préparés".© D.R |
Midi Libre 12/09/2014
La station de secours en mer connaît une saison plutôt calme. Seul point noir : la disparition du véliplanchiste.
On a eu une forte activité au mois d'août avec une météo favorable et donc plus de bateaux sur l'eau. Au final, pas mal d'interventions entre le 10 et 20 août", explique Michel Mathieu-Daudé, le président de la station agathoise de la SNSM (Société nationale de sauvetage en mer). "Des interventions plutôt faciles mis à part le cas dramatique du véliplanchiste qu'on n'a pas retrouvé" malgré près de cinq heures de recherches infructueuses...
Depuis le début de l'année, le Terrisse, la nouvelle vedette acquise il y a un an, est sorti 35 fois pour des interventions, dont une vingtaine entre juin et septembre. "C'est déjà beaucoup et à peu près semblable au bilan de l'an dernier. Mais moins on sort mieux c'est", rappelle le président. Le plus souvent, il s'agit "de plaisanciers qui ne sont pas préparés ou qui ont du matériel mal préparé et qui sont gagnés par le stress. Il y a aussi ceux qui ne respectent pas les règles maritimes de navigation et qui s'échouent sur le Brescou."
La station d'Agde qui existe "depuis une centaine d'années" fonctionne grâce à l'engagement d'une vingtaine de bénévoles qui peuvent être appelés à tout moment, 365 jours par an, 24 heures sur 24. Un équipage nécessite six hommes pour des missions de secours aux personnes et éventuellement aux biens, cela à partir de 300 mètres du littoral.
Soutenue financièrement par la Ville d'Agde et la Sodeal, la station jongle avec un budget "serré" et fait aussi appel aux dons. Elle participe activement au salon nautique, à l'automne. Un rendez-vous important. "On anime une conférence, on montre ce qu'on fait, on a besoin de se faire connaître."
Quant aux volontaires susceptibles de rejoindre les rangs de la SNSM Agde : "Il faut avoir la motivation, parfois on peut ne pas sortir pendant 30 à 40 jours puis tous les jours... Notre difficulté est de trouver des candidats jeunes, solides physiquement, car il faut de la disponibilité..."
MéLISSA ALCOLéA
Publié le : Vendredi 12 septembre 2014
![]() |
PHOTO TOPKITE |
Midi Libre 07/09/2014
La rencontre a eu lieu il y a quelques jours, à 800 mètres à peine de la côte.
Julien Quenillet, responsable de l'école de kite Top Kite, n'a pas manqué la rencontre et en a tiré de superbes clichés.
En cette fin août, un samedi midi, il navigue avec des amis pour tester des planches, à 800 mètres environ au large du Cap-d'Agde, lorsque "six ou sept dauphins" apparaissent, "dont deux bébés". "Le plus gros devait faire quatre mètres de long",estime-t-il. "On les a suivis pendant une demi-heure, ils n'étaient pas joueurs mais on pouvait les approcher".
En 5 ans, depuis la création de l'école, "c'est la 3e fois" qu'il rencontre des dauphins. Une belle façon d'achever l'été.
Publié le : Dimanche 07 septembre 2014
![]() |
Jean-Paul Alvarez : "Nous informons au maximum le public en allant à sa rencontre." |
Midi Libre 06/09/2014
Chef de secteur des plages avec Loïc Fittante, Jean-Paul Alvarez dresse un bilan des interventions estivales
Quels ont été les effectifs déployés pour assurer la surveillance des plages cet été ?
Trente-deux nageurs sauveteurs au total se sont chargés d'assurer la sécurité des baigneurs. Ils étaient une quinzaine par jour à pied d'œuvre, répartis sur les six postes de secours, de la Corniche à la place du Castellas. à chaque poste, nous surveillons quelque 800 mètres de plage.
Deux chefs de secteur, Loïc Fittante et moi-même, sont chargés de chapeauter les équipes, sous l'autorité de Serge Malvezin.
Les interventions ont-elles été nombreuses ?
Nous avons eu affaire à de nombreux cas d'aquastress, de fatigue ou encore d'hypothermie sans compter des malaises vagaux causés par la chaleur. La bobologie nous a aussi beaucoup occupé s : piqûres de vives, plaies au niveau des pieds, épines d'oursin…
En juillet et août, l'un des postes de secours a prodigué une centaine de soins. Il faut savoir que la majorité de nos interventions s'effectuent dans les zones non-surveillées.
Quel est le quotidien d'un nageur sauveteur ?
La prévention rythme nos journées. Nous réalisons des patrouilles sur le sable et dans l'eau. Nous informons au maximum le public en allant à sa rencontre. J'en suis à ma cinquième saison à Sète, sans compter mes années de secourisme en Atlantique et je peux l'assurer : il n'y a que la prévention qui paie.
Malgré le travail de prévention, des accidents ont marqué l'été…
Oui, mais il s'agissait de cas particuliers. Nous avons eu un blessé grave avec un homme de 51 ans qui a plongé dans 50 cm d'eau et un mort noyé lors du Worldwide Festival. Ces accidents étaient liés à l'imprudence des personnes et à la négligence des consignes données aux postes de secours.
Pour la première fois sur le littoral sétois, le dispositif drapeau bleu a été déployé. En quoi consiste-il et vous a-t-il paru efficace ?
Il permet de limiter la zone surveillée, à l'aide de bannières bleues. Avant, on sortait les drapeaux rouges pour se protéger juridiquement quand la mer représentait un danger.
Mais les touristes respectaient peu l'interdiction. Le drapeau bleu, accompagné d'un personnel suffisant, s'avère être une bonne solution pour prévenir les risques. Limiter la zone de surveillance permet d'être plus efficaces face aux irréductibles.
Publié le : Dimanche 07 septembre 2014
![]() |
Le patron de la vedette est sérieusement blessé au visage.ARCHIVES / ML |
Midi Libre 18/08/2014
Des pêcheurs mécontents de la vague créée par la vedette de la SNSM rentrant au port s'en prennent à l'équipage et cassent le nez au patron des secouristes valrassiens.
Ce dimanche 17 août, vers 21 h 30, après presque cinq heures passées en mer au secours de quatre plaisanciers qui étaient en train de couler devant les cabanes de Fleury, l'équipage de la vedette de la SNSM de Valras a eu un accueil bien particulier réservé par des pêcheurs à la ligne.
Ils pêchaient dans un endroit interdit
En effet, alors que ces derniers pêchaient dans un endroit formellement interdit sur la digue, ils ont été gênés par la vague créée par la vedette qui remorquait le bateau sauvé devant les cabanes de Fleury et leur quatre passagers. En moins de temps qu'ils n'en faut pour le dire, les pêcheurs sont arrivés jusqu'à la capitainerie et s'en sont pris à l'équipage.
La bagarre éclate
Une bagarre a éclaté et Patrick Toustou, le patron de la vedette a été victime d'une agression en règle. Quand les gendarmes et les sapeurs-pompiers sont arrivés sur place, le mal était fait, Patrick Toustou avait le nez cassé et le visage en sang. Il est parti se faire opérer à la clinique Saint-Privat. Une enquête de gendarmerie a été ouverte et les pêcheurs ont été interpellés par les hommes de la brigade de Valras.
J.-P. A
Publié le : Lundi 18 août 2014
![]() |
Pascal Petithory est parti du centre nautique du Cap d'Agde mercredi 13 août en début d'après-midi.DR |
Midi Libre 15/08/2014
Alors que les recherches de la SNSM, des pompiers, de la Marine et de la gendarmerie nationale engagées le 13 août à 22 h ont été interrompues, la famille de Pascal Petithory lance un appel à toute personne ayant pu apercevoir ou approcher le windsurfer disparu.
Son épouse, ses beaux-parents et tous ses proches ne peuvent bien sûr se résoudre à sa disparition en mer ce mercredi 13 août : Pascal Petithory, 51 ans, est un as de la planche à voile et un excellent nageur. Aussi lancent-ils un appel à témoins, soucieux de ne négliger aucune des informations pouvant les mettre sur la piste d'un homme "sportif, résistant et au mental d'acier".
Le 13 août vers 14 h, il gare sa 307 grise sur le parking Richelieu
Un appel lancé dans un premier temps à tous ceux qui, à terre, ont pu croiser Pascal Petithory alors qu'il se préparait à prendre la mer, mercredi 13 août peu avant 14 h, après avoir garé sa voiture, une 307 Peugeot grise équipée d'un coffre de toit noir, sur le parking jouxtant le centre nautique du Cap d'Agde, plage Richelieu. D'autant que "très affable", expliquent ses proches, il n'hésite pas à engager la conversation avec ceux qui partagent sa passion.
1,73 m, cheveux grisonnants, portant un "shorty" gris et noir
Mais les proches de ce père de famille invitent aussi tous ceux qui, en mer, ont pu croiser le quinquagénaire sur sa planche à voile (plaisanciers, plongeurs, pêcheurs professionnels), à les contacter. Ce mercredi 13 août, Pascal est parti, ceint de son harnais, sur une courte planche de vagues grise et jaune orangé, équipée d'une voile translucide bordée de rouge et floquée (en jaune) de la marque "JP". Âgé de 51 ans, svelte, les cheveux grisonnants, Pascal Petithory mesure 1,73 m. Ce mercredi 13 août, il portait un "shorty" gris et noir.
Toute personne ayant des informations susceptibles de relancer les recherches peut contacter son épouse Carole au 07 78 69 59 66 ou le commissariat d'Agde au 04 67 01 02 12.
Page Facebook : "Pascal, windsurfer disparu en mer au Cap d'Agde"
Publié le : Samedi 16 août 2014
![]() |
Trois sorties dans la nuit pour le canot de la SNM. VINCENT ANDORRA |
Midi Libre 14/08/2014
Trois sorties dans la nuit de mercredi à jeudi pour les hommes de la SNSM.
Les sauveteurs sétois de la SNSM n'ont pas chômé dans la nuit de mercredi à jeudi. Le canot est sorti une première fois vers 20 h 20 pour récupérer un nageur au large de Frontignan. Le jeune homme était parti à la nage et sans combinaison récupérer sa planche partie à la dérive une heure plus tôt. En difficulté, il a été repéré par l'hélicoptère Dragon 34 de retour de mission. Un coup de chance.
A peine rentré, déjà reparti
Le canot était à peine de retour à Sète qu'il était appelé pour remorquer un bateau école en panne de moteur, avec six personnes à bord. Le temps de débarquer les passagers, le sauveteurs sétois se joignaient aux recherches organisées au large du Cap d'Agde pour tenter de localiser le vélliplanchiste disparu.
Le canot est finalement rentré au port à 4 h du matin.
Publié le : Vendredi 15 août 2014
![]() |
La vedette de Valras est partie sur zone à 23 h avec l'hélicoptère de la Marine.ARCHIVES / ML |
Midi Libre 14/08/2014
De très gros moyens de recherches en mer viennent d'être engagés ce mercredi 13 août au soir par le Cross Med à la recherche d'un véliplanchiste disparu au large du Cap d'Agde.
Le Cross Med (centre de coordination des sauvetages en mer Méditerranée) a engagé ce mercredi 13 août, à 23 h, les trois vedettes de la SNSM d'Agde, de Sète et de Valras, mais aussi l'hélicoptère de la Sécurité civile et celui de la Marine Nationale pour rechercher un véliplanchiste porté disparu depuis 13 h 30 au large du Cap d'Agde.
Il quittait la plage Richelieu à Agde pour pratiquer la planche à voile au large
Dans un communiqué de la préfecture maritime Méditerranée, il est indiqué qu'il s'agit d'un homme de 51 ans, de nationalité française et qui, au moment des faits, quittait la plage Richelieu à Agde pour pratiquer la planche à voile au large. Ses proches, s'inquiétant de sa disparition, ont prévenu le centre opérationnel départemental d'incendie et de secours (Codis) vers 22 h. Ce dernier a alors informé le Crossmed "qui a déployé un important dispositif pour retrouver l'homme" : une équipe terrestre de sapeurs-pompiers d'Agde, une embarcation semi-rigide des sapeurs-pompiers d'Agde, deux vedettes de la SNSM d'Agde et un canot tout temps de la SNSM de Sète, deux embarcations semi-rigides des polices municipales d'Agde et de Marseillan, un hélicoptère Dragon 34 de la Sécurité civile.
Toutes ces équipes ont été maintenues "tard dans la nuit"
Toutes ces équipes ont été maintenues "tard dans la nuit". Afin d'assurer une relève aérienne et de poursuivre les recherches sur une zone importante au large d'Agde, les moyens suivants aériens se sont succédé : un hélicoptère Dauphin de service public de la Marine nationale, basé à Hyères (Var), un hélicoptère de la gendarmerie nationale, équipé d'une caméra de vision nocturne, une nouvelle relève de l'hélicoptère Dauphin, un avion Falcon 50 de la Marine nationale.
Les recherches pour retrouver le véliplanchiste disparu sont toujours en cours.
Le 1er septembre 2012, un véliplanchiste sexagénaire avait dérivé à 10 kilomètres au large du Cap d'Agde. Repéré par le Falcon 50 de la Marine Nationale il avait nagé jusqu'au plongeur sauveteur venu le chercher pour l'hélitreuiller. Affaibli, en hypothermie, mais vivant sa planche à voile était devenue 20 heures durant sa planche de salut.
Publié le : Vendredi 15 août 2014
![]() |
La plus grande zone de mouillage en mer de la région Languedoc-Roussillon est enfin opérationnelle DR |
Midi Libre 04/08/2014
Depuis le 15 juillet, la ZML du Brescou a pris ses quartiers au Cap-d'Agde (Hérault) autour de la seule île de la région.
La plus grande zone de mouillage en mer de la région Languedoc-Roussillon est enfin opérationnelle. Depuis le 15 juillet, la ZML du Brescou a pris ses quartiers au Cap-d'Agde (Hérault) autour de la seule île de la région. Ainsi les plaisanciers peuvent disposer gratuitement de 30 mouillages écologiques afin de préserver les fonds marins. Les bateaux ne pourront plus jeter l'ancre n'importe où. Une patrouille en kayak veillera régulièrement aux respects des règles dans la zone.
Plus d'info sur www.infocapagde.com
Publié le : Jeudi 07 août 2014
![]() |
Le thon découvert à Bouzigues pesait 25 kg ARCHIVES / CHRISTINE PALASZ |
Midi Libre 05/08/14
Plusieurs pièces, dont l'une a été découverte dans une table à huîtres, s'y trouvent actuellement.
Il ne s'attendait pas à une telle prise. Samedi dernier, au large de Bouzigues, un ostréiculteur a découvert, dans une de ses tables, non pas une huître géante, mais un thon. Un spécimen de 25 kg pris au piège des filets protégeant les coquillages des dorades. Des thons dans l'étang ? "Ce n'est pas un phénomène exceptionnel, expose Jean-Marie Ricard, le prud'homme de l'étang. Surtout en juillet et août, quand les eaux de l'étang sont plus chaudes. Il arrive que des thons rouges qui se trouvent au large, dans la fosse de Frontignan, traversent le port et arrivent dans l'étang. D'autres entrent par la passe de Marseillan."
De trois à cinq pièces, dont l'une de 200 kg ?
Depuis le début de l'été, Jean-Marie Ricard n'en a pas aperçu lui-même de ses propres yeux. Mais, rapporte-t-il, "j'ai recueilli des témoignages formels attestant la présence d'au moins trois thons dans l'étang, dont l'un pèse assurément plus d'une centaine de kilos." Plusieurs professionnels font toutefois état d'un banc composé de cinq pièces, dont une mesurerait plus d'un mètre et une autre cinquante centimètres. Un retraité des Phares et Balises affirme, de son côté, avoir vu un thon d'environ 200 kg du côté de Marseillan, le 17 juillet dernier.
Pierre d'Acunto, lui, se dit "surpris" par ces "intrus" : "Je n'ai pas souvenir de présence de thons dans l'étang, y compris de mon père. Dans le port et les canaux, oui. Il arrive que des thons suivent des chalutiers jusqu'à la criée. Actuellement, les thons se rapprochent des côtes. Il y a de la biomasse de petites sardines et de petits anchois. Peut-être que ces thons ont suivi une chasse et se sont ainsi retrouvés dans l'étang où là, ils peuvent jouir d'une certaine tranquillité". Tout en se repaissant d'autres sardines et anchois, ou bien d'aiguilles, de muges... "Les eaux sont bien grasses, il y a de quoi manger", confirme Philippe Fassanaro, enseignant au lycée de la Mer. Tous les professionnels sont en tout cas du même avis : "Des thons dans l'étang, c'est sûrement bon signe pour l'espèce."
M. C. avec B. S
Publié le : Mardi 05 août 2014
![]() |
Le dernier ferry de la compagnie marocaine a quitté Sète mi-juillet. Il est désormais en Turquie.ARCHIVES |
Midi Libre le 28/07/2014
L'ancien ferry de la Comanav ne sera jamais un hôtel flottant.
On a été roulé dans la farine. Le Bni Nsar ne sera jamais un hôtel flottant dans le port albanais de Vlorë. L'ancien ferry de l'ex-Comanav Comarit a été “beaché” ce samedi après-midi dans le port turc d'Aliaga. Le Bni Nsar, rebaptisé Sar à son départ du port de Sète, tracté par le Diavlos Pride, le 17 juillet dernier, a été lancé sur la berge afin… d'être déchiré. Au même endroit que feu le Biladi (lui aussi un ancien ferry abandonné à Sète) et que feu le Pacific Princess, ce navire ayant servi de décor à la série télé La Croisière s'amuse. Car à Aliaga, on ne fait pas dans la dentelle.
Le site est connu pour ses déchirages rapides, efficaces, peu coûteux, et peu soucieux des normes environnementales. La récupération des fluides et autre désamiantage n'y font visiblement pas partie des priorités. "C'est sûrement pour cela que l'acheteur grec du Bni Nsar a donné cette version de l'hôtel flottant, confie un spécialiste du monde maritime. Il s'est évité des protestations d'associations environnementales comme cela avait pu être le cas pour le Clemenceau."
C'est donc du tout benef'pour le patron grec. Sans oublier que, dans l'histoire, il est largement rentré dans ses fonds. Acheté mi-juin aux enchères à Montpellier à 380 000 €, le Bni Nsar a dû être revendu pour le double au chantier naval. Qui cédera la ferraille à très bon prix. Pour mémoire, la même “bascule” financière avait été réalisée sur le Biladi qui, à l'époque, avait quitté Sète pour, soi-disant, connaître une nouvelle vie à Alexandrie...
PHILIPPE MALRIC
Publié le : Mercredi 30 juillet 2014
![]() |
Dans le sillage du bateau officiel, les plaisanciers, bateaux promenades, se rassemblent.D. R |
Midi Libre 29/07/2014
Le programme était riche pour ces deux journées de fête. L'organisation coordonnée de la Ville, la Sodéal et l'office du tourisme a une fois de plus apporté une totale réussite à cette tradition festive pour cette 33e édition.
Dès 10 h, les quais se remplissaient de monde, les plaisanciers venus nombreux se sont joints aux familles agathoises pour assister à la messe donnée sur le quai par le père Yannick Casajus, assisté du prêtre Lucas Lambert du diocèse de Béziers.
Pour la première fois, la messe était accompagnée musicalement par la peña les Coupes Cigares et pour la tradition par les Belles Agathoises en costume d'époque. Un temps fort, riche d'émotion et de recueillement seulement troublé par le clapotis des vagues sur les coques de bateaux.
Puis sur les airs entraînants de la peña, direction le quai Miquel pour embarquer sur le bateau Vision Sous-marine et direction le large.
La bénédiction des bateaux reste un moment fort
Au fur et à mesure de son avancée dans le port, les bateaux de plaisance prenaient le sillage du bateau des officiels, de la vedette de la gendarmerie nationale et de la SNSM, magnifique bateau de sauvetage qui a pris son service au printemps dernier.
Arrivées au large, les embarcations se sont placées face au bateau des officiels, moteurs stoppés pour l'hommage aux marins disparus en mer.
Le prêtre a béni tous les bateaux puis le maire Gilles d'Ettore et le conseiller général Sébastien Frey ont jeté à la mer la gerbe qui flotte encore sous le nuage rouge des fumigènes déclenchant simultanément toutes les sirènes des bateaux.
Un moment fort mais difficile à saisir pour les photographes installés sur un petit bateau et pas épargnés par le roulis et le tangage.
Une très belle balade en mer, l'union de tous ces marins pour ce bel hymne à la Méditerranée et pour que ces belles traditions se perpétuent.
De retour sur le quai Gilles d'Ettore a remercié tous les acteurs de cette belle fête, rendez-vous est déjà pris pour 2015.
La journée s'est terminée par le concert sur le Vieux Port avec SoaJazz.
Publié le : Mercredi 30 juillet 2014
![]() |
Lors du couper de ruban ce jeudi matin. |
Midi Libre 11/07/2014
L e président de Région Christian Bourquin a inauguré ce jeudi 10 juillet au matin l'ouvrage réhabilité. Qui a été rouvert à la circulation à 17 h 30.
Après sept mois de travaux, et quelques jours de retard, le pont de Tivoli sur lequel la Région et la Ville ont investi conjointement 2,5 millions d'euros, a été rouvert à la circulation automobile ce jeudi 10 juillet à 17 h 30. Sa "résurrection" a nécessité pas moins de 23 tonnes d'acier, 8000 boulons, 3500 rivets et 3500 litres de peintures, ainsi que 11 000 heures de travail !
Publié le : Vendredi 11 juillet 2014
![]() |
De 2007 à 2013, le quota français a été réduit chaque année de façon à ce que les thoniers "remboursent" la surpêche. |
Midi Libre 10/07/2014
Six armements, sétois et agathois, sont poursuivis pour des "déclarations mensongères" qui leur auraient permis de dépasser frauduleusement le quota fixé par la Commission pour la conservation des thonidés en 2007.
Le 11 juin, le tribunal correctionnel de Montpellier avait examiné le cas de six patrons de thoniers, poursuivis pour “déclarations mensongères à une administration publique en vue d'obtenir un avantage indu”. En d'autres termes, ces armements, sétois et agathois, étaient suspectés d'avoir sous-déclaré leur volume de pêche lors de la campagne 2007 afin de ne pas tomber sous le coup des quotas imposés par l'Iccat (Commission internationale pour la conservation des thonidés de l'Atlantique). D'autres auraient vendu leur quota-papier (c'est-à-dire leur quota de pêche), à des armements étrangers, déclarant pour leur part une pêche fictive.
L'ensemble des thoniers français avait dépassé le quota de près de 4 700 tonnes
Pour mémoire, en 2007, la Commission européenne avait reproché à la France d'avoir pêché 10 000 tonnes de thon rouge, soit presque deux fois le quota qui lui avait été alloué (5 593 tonnes). Et la France avait d'ailleurs admis ce "large dépassement des quotas". Mais c'était encore l'Italie et l'Espagne qui étaient en tête des dépassements. Dès l'automne 2007 et alors que l'Europe avait mis fin prématurément à la campagne, le président du Syndicat des thoniers méditerranéens, Mourad Kaloul, avait estimé que "si des bateaux ont fraudé, ils devront être sanctionnés".
De lourdes peines : jusqu'à 24 mois de prison avec sursis, 50 000 euros d'amende, 100 000 euros de confiscation...
C'est chose faite, presque 7 ans plus tard. Faisant suite aux lourdes réquisitions formulées au début du mois de juin (*), le tribunal correctionnel de Montpellier a condamné hier cinq des six patrons cités, après avoir rejeté les exceptions de nullité de la défense, à savoir l'invocation de vices de forme dans la procédure. Les peines vont de 8 à 24 mois de prison avec sursis, de 15 000 à 50 000 € d'amende et de 15 000 € à 100 000 € de confiscation de valeur (cette mesure évite la confiscation du navire mais la somme versée n'est pas récupérable). Les armements ont dix jours pour faire appel, ce dont certains d'entre eux, sétois notamment, ne se sont pas privés. Notons en outre que les 4 671 tonnes de dépassement de 2007 ont été “remboursées” par les armements, le quota français ayant été amputé, annuellement, de 500 à 1500 tonnes.
Pa.C
Publié le : Jeudi 10 juillet 2014
![]() |
Midi Libre 04/07/2014
La Ville prend de plus en plus de précautions pour sauvegarder l'Aire marine protégée.
Avec ses 6 152 ha, l'Aire marine protégée de la côte agathoise est la plus grande la région. Un site qui nécessite des aménagements. "Les mouillages écologiques de Brescou, c'est le plus gros projet de notre équipe" se félicite Renaud Dupuy de la Grandrive, directeur de la gestion du milieu marin d'Agde.
En ce mercredi 2 juillet, une météo idéale a permis aux membres du comité de pilotage de l'Aire de sortir en mer, pour observer l'avancée des travaux.
Sylvain Blouet, biologiste : "Soit on interdisait l'ancrage sur cette zone, soit on l'aménageait".
Depuis le premier étage du bateau de promenade, Sylvain Blouet ne cache pas sa fierté. Employé à la gestion du milieu marin, il observe les plongeurs installer un mouillage - le quinzième sur trente - à quelques centaines de mètres du fort.
L'idée est simple : implanter des matériaux solides pour remplacer le béton des ancres de fortune ; le tout avec une chaîne verticale, pour ne pas racler le fond. "C'est du gagnant-gagnant : en respectant ces règles, les plongeurs et les pêcheurs préservent les intérêts économiques de la station, et assurent leur sécurité". Les bateaux qui s'amarrent dans la zone du fort devront désormais s'ancrer sur les installations prévues à cet effet. En cas d'infraction, une amende pour “non-respect d'un arrêté préfectoral” pourra être infligée.
Une densité de gorgones multipliée par sept
L'initiative a déjà fait ses preuves. En 2005, huit mouillages ont été installés aux Tables. "Depuis, la densité de gorgones (une espèce animale maritime, NDLR) a été multipliée par sept" observe Sylvain Blouet.
Captivés, les représentants des usagers écoutent les explications des plongeurs, en pleine installation. Rudy Levy, président de la ligue régionale de pêche sous marine en apnée est toujours "très vigilants sur les nombreuses interdictions qui touchent notre pratique". Mais aujourd'hui, il concède qu'il est "de tout cœur avec les responsables de la zone protégée" car "Plus les fonds sont préservés, plus il y a de poissons."
Des usagers sensibilisés
L'équipe chargée du milieu marin d'Agde pourra bientôt passer à la phase d'expérimentation. Cet été, des études scientifiques permettront un premier bilan, tandis qu'une opération de sensibilisation sera mise en place pour les usagers.
Clément L'hote
Publié le : Vendredi 04 juillet 2014
![]() |
Midi Libre 03/07/2014
Le Seven Seas Mariner accoste ce mercredi à partir de 14 hIl est parti ce mardi de Palma de Majorque et devait arriver, ce mercredi, à Marseille. Cela sera finalement à Sète. A cause de la grève des agents de la SNCM, le paquebot de croisière le Seven Seas Mariner a été dérouté vers l'île singulière. Il se présentera au large aux environs de 14 h. Ce navire de 217 mètres sera accueilli dans le port de commerce. Il fera une escale de deux jours.
Déjà samedi, le port avait reçu la visite du Zenith, un autre paquebot de croisière détourné de la cité phocéenne.
Publié le : Jeudi 03 juillet 2014
![]() |
Les bulldozers sont à l'œuvre sur la plage du quartier naturiste au Cap-d'Agde |
Midi Libre 02/07/2014
Des bulldozers sont en train de détruire l'avancée illégale d'un établissement du quartier naturiste du Cap-d'Agde (Hérault), situé en bord de mer.
Les bulldozers sont à l'œuvre sur la plage du quartier naturiste, au Cap-d'Agde, depuis ce mardi 1er juillet au matin, vers 6 h. C'est en effet l'avancée illégale d'un établissement du village qui en train d'être détruite sur ordre du préfet. Une décision de justice en avait dernièrement décidé ainsi.
Publié le : Mercredi 02 juillet 2014
![]() |
Une démolition ordonnée par le tribunal administratif de Montpellier |
Midi Libre 01/07/2014
Située sur le domaine maritime, la terrasse du Tantra, un établissement libertin du Cap-d'Agde (Hérault) , a été détruite ce mardi 1er juillet au petit matin sur décision de justice.
Une fois n'est pas coutume, ce ne sont pas les premiers rayons du soleil qui ont tiré du lit les résidents du village naturiste du Cap d'Agde. Dès 6 heures en effet, ce mardi 1er juillet, une trentaine de policiers nationaux et municipaux, le commissaire Ducrettet en tête, ainsi que des agents de la direction départementale des territoires et de la mer (DDTM), ont pénétré dans l'enceinte d'Héliopolis, précédés de plusieurs engins de chantier. But de l'intervention : détruire une partie de l'établissement libertin Le Tantra, construite illégalement sur le cordon dunaire. Une démolition ordonnée par le tribunal administratif de Montpellier le 8 novembre 2013 et qui aurait dû être effective le10 avril dernier, selon un communiqué de la Préfecture.
L'intervention d'une avocate n'y a rien fait
Sur place, un périmètre de sécurité s'est rapidement mis en place, empêchant toute intrusion sur le site. Mandatée par la société HK, qui exploite le fonds de commerce du Tantra, maître Bidal, avocate au barreau de Montpellier, a tenté de repousser l'échéance, arguant du fait que son client "avait trois mois pour démonter la structure puisqu'il a reçu la notification le 16 juin dernier (selon elle, les premières injonctions avaient d'abord été adressées à l'ancien gérant)." En vain.
Avec précaution, les ouvriers ont d'abord démonté la toiture de l'établissement, puis la charpente, avant que le tractopelle n'entre en action pour faire place nette, sous les yeux de résidents qui, pour la majorité, étaient ravis que force reste à la loi dans une zone où d'autres commerces sont susceptibles d'être sous le coup d'une décision de justice similaire.
OLIVIER RAYNAUD
Publié le : Mardi 01 juillet 2014