Le 6 ème salon nautique du Cap d'Agde est ouvert malgré l'annonce de la pluie qui n'aura pas été à la satisfaction de tous au rendez-vous.

Quelle bonne idée d'avoir choisi cette année la navigatrice Catherine Chabaud pour couper le ruban. Infocapagde a le plaisir de vous faire partager ce bon moment...

Bon salon à tous et venez nombreux profiter de cet agréable manifestation.

Le 6ème "Salon Nautique d'Automne du Cap d'Agde" a lieu du vendredi 28 octobre au mardi 1er novembre 2005. Créé et organisé par l'Association des Professionnels du Nautisme du Cap d'Agde, en collaboration avec la SODEAL et l'Office Municipal du Tourisme, il s'affirme comme le rendez-vous incontournable sur le littoral méditerranéen à l'automne. Le choix propice de ses dates, idéalement situées en amont du Salon de Paris, permet d'accueillir des nouveautés en avant-première.

En quelques années, et au fil des éditions, le Salon Nautique d'Automne du Cap d'Agde s'est inscrit parmi les salons majeurs au plan national et sur la façade méditerranéenne en particulier.

Il illustre la convergence de deux volontés : celle des professionnels du nautisme et celle de la station qui font du nautisme un vecteur de développement dans l'un des plus grands ports de plaisance d'Europe.

L'Association des Professionnels du Nautisme du Cap d'Agde, qui a créé ce Salon en 2000, a su fédérer autour d'elle des partenaires essentiels tels que la Ville d'Agde et la SODEAL, les acteurs locaux du tourisme et du nautisme, la Chambre de Commerce et d'Industrie de Béziers, et la Fédération des Industries Nautiques Méditerranéennes.

Le Salon est bien ancré dans le tissu économique et touristique capagathois. Il s'inscrit comme l'un des grands rendez-vous de l'automne sur la station.

Il propose une offre diversifiée de bateaux neufs et d'occasion, ainsi que des équipements et des services, qui satisfont les visiteurs en qualité et en quantité.

En moyenne un tiers des bateaux exposés trouve preneur pendant le Salon, et les contacts noués pendant sa durée se concrétisent souvent au cours des mois suivants.

Ouvert aux professionnels et aux particuliers, il réunit pendant 5 jours tous les amateurs de plaisance et tous les amoureux de la mer autour de toutes les composantes du nautisme.

Le "Salon Nautique d'Automne" se déroule au sein même de la Zone Technique du Port qui offre des infrastructures particulièrement adaptées, là où les professionnels du nautisme qui sont à l'écoute des visiteurs durant 5 jours exercent leur activité quotidienne.

LE "SALON NAUTIQUE D'AUTOMNE DU CAP D'AGDE" 2005 en détail 

Une marraine de cœur, Catherine Chabaud, viendra à la rencontre des professionnels et des visiteurs. Elle coupera le ruban d'inauguration du Salon, mais surtout racontera ses navigations et expliquera le grand projet " Reporter Bleu " auquel elle s'attache depuis de longs mois en faveur de l'environnement maritime.

 

Des centaines de bateaux neufs et d'occasion, à terre et à flot, ont été sélectionnés pour les 40.000 visiteurs attendus. 15.000 m² d'exposition seront aménagés, et 2 km de pontons seront en fête.

 

Tous les grands constructeurs seront représentés pour que chacun puisse trouver l'embarcation de ses rêves, que ce soit pour la voile familiale ou sportive, la balade au moteur ou la pêche.

 

Des nouveautés intéressantes, et en particulier les bateaux VIVA, seront présentées en avant-première du Salon de Paris : un 21 pieds et un 24 pieds, récemment importés de Pologne, qui rencontreront probablement leur clientèle dans ces longueurs très demandées.

 

Le chapiteau de 1.200 m² abritera les 90 exposants de matériels et de services destinés aux bateaux et à leurs équipages, dont de nombreux nouveaux exposants séduits par la notoriété du Salon.

 

Des rencontres, des conférences et des ateliers seront également au programme :

une conférence-film de Catherine Chabaud ; des vacations radio depuis le large avec Jean-Luc Van den Heede, détenteur du record du tour du monde à l'envers, le "Global Challenge", à bord de son monocoque Adrien, et avec David Augeix, le skipper agathois qui participe à la Transat 6,50 en solitaire reliant La Rochelle à Salvador de Bahia ;

 

des conférences sur la météo marine, l'architecture navale, la navigation électronique, l'expertise maritime, le tour du monde de Michèle Trousseau, les missions de sauvetage de la Marine Nationale ;

 

des réunions professionnelles de la Fédération des Industries Nautiques, de la Chambre de Commerce et d'Industrie de Béziers, de l'Alliance Bassin de Thau et d'autres organismes intervenant dans le milieu nautique.

 

UN SALON AU COEUR DU PORT DE PLAISANCE DE LA STATION
Entrée libre et gratuite Parkings gratuits
Ouvert chaque jour de 10h à 18h du vendredi 28 octobre au mardi 1er novembre 2005

L'arrêté redéfinissant le programme et les modalités de passage du certificat restreint de radiotéléphoniste vient d’être signé par l’ensemble des ministres concernés (ministères de l’Équipement, des Transports, de l’Aménagement du territoire, du Tourisme et de la Mer, et Ministères de l’Économie, des Finances et de l’Industrie).

L'Agence a pris les mesures nécessaires pour que des sessions d’examens soient ouvertes sur l’ensemble de la France, dès la publication de cet arrêté au journal officiel.

Le nombre de VHF avec Appel Sélectif Numérique croissant rapidement, le contenu de l’examen a été modernisé. Il intègre des connaissances relatives au Système Mondial de Détresse et de Sécurité en Mer. Le programme de l’examen est conforme aux engagements de la France dans le cadre de l'Union Internationale des télécommunications et de la Conférence européenne des postes et télécommunications, ce qui assure la reconnaissance à l’étranger des certificats délivrés en France.

Pour les personnes ayant obtenues le CRR avant le 1er octobre 2004, il n’est pas exigé de passer un module complémentaire pour utiliser une VHF ASN. Il est cependant conseillé d’actualiser ses connaissances en consultant le “ manuel de préparation au CRR ” sur www.anfr.fr .

Se trouve également sur www.anfr.fr (Rubriques Dernières nouvelles et Radiomaritime), ce qui a changé par rapport à l’examen “ ancienne formule ” : inscription, préparation à l’examen, sessions disponibles, FAQ …

Afin d'adhérer à la SNSM ou pour vous abonner à la revue Sauvetage, vous pouvez renvoyer ce bulletin à : Les Sauveteurs en Mer 31, Cité d'Antin 75009 Paris ou à votre Station de Sauvetage du Cap d'Agde. 

Jusqu'à une époque récente, les utilisateurs de la mer étaient des professionnels. Les sauveteurs se recrutaient donc parmi ces hommes, pour la plupart des pêcheurs, et intervenaient au profit d'autres pêcheurs en difficulté. La solidarité allait de soit, celui qui était à terre se portait au secours du "collègue" en perdition en mer.

Aux premiers temps du sauvetage, chaque sortie ou presque relevait de l'héroïsme. L'exploit était quotidien. Aujourd'hui, les Sauveteurs en Mer sortent par des mers très dures que n'auraient pu affronter les sauveteurs du début du siècle avec leurs canots à avirons et à voiles. Les matériels modernes permettent de reculer toujours plus loin les limites de l'exploit. Ces hommes entièrement bénévoles partent en intervention, quelsque soient le jour, la nuit ou l'heure, dans les 15 mn qui suivent le déclenchement de l'alerte.

Mais demeurent les mêmes valeurs qui ont fait de ces hommes, au fil des ans et des sauvetages, des héros : le courage, la solidarité, le bénévolat, la compétence. Depuis toujours, les autorités ont eu à cœur de récompenser la bravoure exemplaire de ces marins et leur ont témoigné la reconnaissance de la Société toute entière en leur décernant les plus hautes distinctions. Douze sauveteurs de la SNSM ont perdu la vie en mission de secours au cours des vingt dernières années.

CAMPAGNE ECOGESTES MEDITERRANEE

EN LANGUEDOC-ROUSSILLON

PILOTEE PAR

Béatrice LE MOEL
Directrice 30 boulevard des Aresquiers
34 110 VIC LA GARDIOLE
Tel : 04-67-48-78-90
Email : voile.de.neptune@free.fr

Les objectifs :

• Mettre en place un programme cohérent de sensibilisation, d’éducation et de formation au patrimoine naturel marin dans les communes portuaires du Languedoc-Roussillon.
• Faire prendre conscience à chacun des problématiques environnementales liées à l’utilisation d’un bateau.
• Faire émerger des envies de changement dans ses actes quotidiens en faveur du respect de l’environnement marin.
• Rechercher et mettre en avant des produits plus sains et des techniques plus adaptées au respect des habitats sous-marins du L.R PUBLICS

Le public visé :

• Usagers de la mer pratiquant une activité marine de loisirs ou professionnelle
• Usagers de la mer en formation : brevet d’état de voile, plongée, kayak de mer, permis mer,….
• Professionnels de la mer étant en contact avec des publics : capitaineries, gestionnaires de clubs sportifs et de bateaux écoles, loueurs de bateaux, stations d’avitaillement ou de carénage,
• magasins d’accastillage.

Les nouveautés 2005/2006 :

• Convention « Ecogestes » signée entre les régions PACA, Corse et Languedoc-Roussillon avec la mise en place d’un comité de liaison inter-régional.
• Utilisation d’une même charte graphique élaborée par « Canopée »
• mise en place de structures pilotes dans les départements de l’Aude et des Pyrénées-Orientales.
• Coordination de la campagne Ecogestes en LR , formation de la nouvelle équipe, réalisation de nouveaux outils par le Voile de Neptune.

Cet événement a pour but d'offrir une belle aventure nautique à une soixantaine d'enfants de 7 à 16 ans ayant bénéficié d'une greffe et aujourd'hui en rémission ou guéris, en provenance de tous les grands centres de greffe des CHU français. Ce rendez-vous s'articule autour d'un programme de mini-croisières sur l'eau et d'animations à terre.

http://www.lesvoilesdelespoir.asso.fr/

La municipalité d'Agde, sous l'impulsion de son maire Monsieur Gilles D'Etorre, a choisi d’investir dès 2001 afin de moderniser et renouveler les équipements portuaires de la station ainsi,

-450 nouveaux anneaux ont été créés et autant le seront d’ici mai 2006

-Les quais de la zone technique ont été totalement rénovés

-L’opération « ports propres » a été réalisée

-Les infrastructures électriques ont été mises en conformité

-Les réseaux d’eaux pluviales et d’eaux usées ont été mis aux normes

-La sécurité a été améliorée avec des fermetures d’accès à certaines heures de la nuit

-Création de nouveaux locaux Sodéal en Zone technique

-Les engins de manutention en zone technique ont été remis en état

-Création de sanitaire en zone technique

Le port du Cap d’Agde est un outil formidable pour tous ceux qui ont la chance d’en bénéficier. Avec tous ces efforts, on peut considérer qu’il continuera à l’être.

Une petite inquiétude, cela commence à se savoir et les places disponibles deviennent une denrée rare...

Pol Pitaine

La Coupe de France de nage en eau libre fait étape au Cap d'Agde avec le " Challenge Thomas Molla " le mardi 23 août 2005, avec le soutien de l'Office Municipal du Tourisme et la participation du Service des Sports de la ville d'Agde ainsi que l'Office Départemental des Sports de l'Hérault. Cette compétition est ouverte à tous.

32 étapes composent cette Coupe de France qui a débuté le 19 décembre 2004 à Fort-de-France (Martinique) et qui s'achèvera le 18 septembre prochain à Beaulieu-sur-Mer (Alpes-Maritimes). Le Cap d'Agde est la 26ème étape avec deux épreuves qui se déroulent à la Plagette (Avant-Port).

Pour les nageurs en compétition, la Coupe de France permet de récompenser leur régularité sur la saison et honore ainsi le sportif de tout un été, à la différence du Championnat de France qui récompense le nageur d'un jour.

Cette compétition est ouverte à tout le monde : de 7 à 77 ans, du nageur le plus expérimenté au sportif occasionnel, amateur de longue distance. Il suffit de se munir pour l'inscription d'un certificat médical de non contre indication à la natation sportive datant de moins de 3 mois pour les non licenciés de la Fédération Française de Natation. Les inscriptions (5 €) se font sur place, le jour-même.

C'est aussi pour les vacanciers une course organisée sur leur lieu de vacances, et l'occasion de s'essayer avec plaisir à la nage en milieu naturel.

Gérard et Marylou sont heureux de vous accueillir dans leur Restaurant La Bonne Mère, situé au Cap d'Agde.

Au bord de la Plage, à proximité de la magnifique Grande Conque et du Fort Brescou, assis confortablement à la terrasse baignée par le Soleil et le doux chant des vagues, vous pourrez apprécier la véritable cuisine méditerranéenne, savant mélange de saveur et de produits frais ( poissons, coquillages, crustacés).

A noter que le site infocapagde est partenaire de ce restaurateur qui nous permet de vous faire profiter de la vue sur l'entrée du port : la webcam sur Brescou. N'hésitez pas à lui rendre visite...

Téléphone : 04.67.26.47.83

Le Cap d'Agde accueille pour la troisième année consécutive le "Championnat de France Motonautique", sous l'égide de la Fédération Française Motonautique, avec le soutien de l'Office Municipal du Tourisme et de la SODEAL.

Son objectif est de permettre à tout plaisancier venant de toute la France, et possédant un bateau de production ou prototype, de s'initier au motonautisme de compétition et de participer à une course officielle.

Le "Championnat de France Motonautique", organisé par "Offshore Passion", a pour vocation de développer les courses motonautiques en France. Il compte cette année 5 "Grand Prix" : Saint-Cyr (28 et 29 mai), Bordeaux (25 et 26 juin), Le Cap d'Agde (27 et 28 août), Carry-le-Rouet (10 et 11 septembre) et Martigues (1er et 2 octobre).

Le "Grand Prix du Cap d'Agde" se déroule en 2 manches, avec 4 départs par manche selon les catégories :

• Bateaux pneumatiques / semi-rigides et opens :
  • Pneumatiques, semi-rigides et opens équipés de moteurs de plaisance de 0 à 75 cv, de 76 à 150 cv et de 151 à 250 cv
    
    
• Bateaux pneumatiques / semi-rigides et opens sport :
  • Pneumatiques, semi-rigides et opens ayant une configuration compéition de 76 à 150 cv et de 151 à 250 cv
    
    
• Offshores 2 litres:
  • Carènes équipées d'un moteur jusqu'à 2 litres de cylindrée
    
     
• Offshores 3 litres:
  • Carènes équipées d'un moteur jusqu'à 3 litres de cylindrée et d'une longuerur minimum de 6 m
    
    
• Offshores sport :
  • Carènes de 7 à 10 m équipées de 2 moteurs hors-bord ou d'une simple motorisation in-bord
    
    

Ce Championnat est une course où chacun à son niveau, pilote amateur ou confirmé, peut pendre un égal plaisir à courir ensemble. Il se déroule selon le règlement établi et validé par la Fédération Française Motonautique et est inscrit au calendrier fédéral des courses officielles 2005.

Pour participer à ce "Grand Prix du Cap d'Agde", il faut former un équipage de deux membres (1 pilote et 1 copilote), s'acquitter d'un droit d'inscription de 100 euro par bateau, être obligatoirement assuré auprès de la Fédération Française Motonautique (soit en possédant une licence annuelle, soit en souscrivant une licence promotionnelle de 72 heures de pilote temporaire), et enfin s'inscrire dans l'une des catégories de bateaux précitées.

C'est l'occasion pour certains pilotes d'effectuer leur première course officielle et d'expérimenter le déroulement d'un briefing, le suivi des instructions de courses, les essais, les départs de manches, le respect d'un parcours… le tout dans un esprit sportif sans faille.

En effet, si chaque équipage peut venir tenter sa chance pour accéder au podium de sa catégorie, c'est en ayant toujours à l'esprit le côté convivial et fair-play du "Championnat de France", condition sine qua non de sa réussite et de sa pérennité.

Et l'initiateur de ce Championnat sait de quoi il parle pour connaître parfaitement le monde du motonautisme : Champion de France et vice Champion d'Europe en offshore classe III, Laurent PLASSE a présidé le groupe de travail offshore au sein de la FFM et est l'un des deux moniteurs fédéraux en France. Il est également vice Président du Comité Régional Motonautique PACA. Ce n'est pas non plus un inconnu du Cap d'Agde, puisqu'il a établi et battu le record de vitesse sur l'eau jusqu'aux Baléares au départ du Cap d'Agde en 1999 et 2000.

Une quarantaine d'équipages venant de toute la France est attendue, ce qui promet un beau spectacle sur l'eau. Outre quelques équipages mixtes, il faut souligner qu'un équipage 100 % féminin sera présent au Cap d'Agde dans la catégorie O.C.R.

Afin que le spectacle puisse être suivi depuis la terre, le parcours est prévu au-delà de la bande des 300 mètres, pour être visible depuis la plage Richelieu Est, côté Centre Nautique.

Le paddock, installé au Centre Port sur la Zone Technique Portuaire, est accessible au public.

Le programme prévisionnel est le suivant :

En hommage au docteur Alain Bombard, décédé en juillet dernier, je vous invite à lire l'excellent article paru dans le Monde.

Même si depuis 1952, le sauvetage et la notion de survie en mer ont considérablement évolué, Alain Bombard par son expérience unique reste l’un des fondateur  de la « SURVIE EN MER ».

L'hérésie du docteur Bombard par Charlie Buffet

Article paru dans LE MONDE l'édition du 21.07.04

Samedi 6 décembre 1952, après cinquante jours de dérive solitaire dans l'Atlantique, Alain Bombard a rédigé son testament.

Il a griffonné dans son carnet de bord quelques dispositions personnelles, et cette phrase : "Je tiens à dire que mon expérience est valable pour cinquante jours. Ce n'est pas parce que j'arrive mort que les naufragés doivent désespérer." Puis il s'est allongé entre les deux boudins de son radeau pneumatique, qu'il pouvait toucher en écartant à peine les bras, et il a attendu la mort.

"Je n'en pouvais plus, se souvient-il. Le soleil m'écrasait, j'avais des hémorragies buccales et rectales, ma tension était tombée à 10. Mourir, alors, me semblait facile.

On s'endort, et on ne souffre plus.

" Le naufragé volontaire a encore inscrit "Bombard l'hérétique" sur le boudin du Zodiac. Puis, sous le soleil de plomb que les nuages semblaient contourner à dessein, il s'est allongé. "Ca a duré une demi-heure, poursuit-il. Puis je me suis mis à rigoler. J'ai pensé à l'effet de ce radeau s'échouant quelque part avec un mort à bord, qui laissait des conseils pour ne pas mourir !"

En 1520, Fernand de Magellan avait perdu la vie en prouvant qu'on pouvait rejoindre l'Orient en partant vers l'ouest ; en 1893, Fridtjof Nansen avait piégé son Fram dans la banquise pour démontrer qu'un courant traversait l'océan Arctique de part en part.

Les plus beaux moments de l'exploration de la Terre furent des démonstrations, des voyages commencés en pensée.

En 1952, la Terre est connue d'un pôle à l'autre, mais le corps humain reste une planète à explorer.

Un interne inconnu de 27 ans, nourri de récits d'aventures, conçoit un voyage de l'esprit. Ce qu'il faut démontrer ? Un naufragé peut survivre sur un radeau, sans eau ni vivres, assez longtemps pour traverser l'Atlantique. Ou encore, comme il le formule aujourd'hui : "Un moral de fer peut sauver de la mort.

" L'homme qui raconte arrive à petits pas dans sa maison qui surplombe la Méditerranée. "Aujourd'hui, je nage plus vite que je ne marche", sourit-il, ajoutant : "Vous m'avez fait rater un Vivaldi." Alain Bombard a voulu être musicien, il doit à cette vocation sa fameuse barbe qui devait le faire ressembler à Debussy - "mais ça fait plutôt Moussorgski." Il a été bon violoncelliste. "J'ai la chance de pouvoir entendre la musique que je lis. Dans l'Atlantique, j'avais un dictionnaire de dix mille thèmes musicaux. Je me faisais des concerts mentaux." Puis, ayant évoqué son enfance "éblouie" au côté d'une grand-mère adorée, médecin et amie de Marie Curie, il raconte la genèse de son odyssée.

C'est un enchaînement logique, qu'il fait remonter au printemps 1951 quand, interne à Boulogne-sur-Mer, il a vu, impuissant, arriver les corps de quarante-trois marins noyés.

Réalisant l'importance des naufrages et de leurs "deux cent mille victimes annuelles", Alain Bombard voit la possibilité d'une oeuvre utile : "J'avais longuement étudié le cas des déportés, des prisonniers et des populations sous-alimentées," écrit-il dans Naufragé volontaire. "Et avec cette déformation du médecin, pour qui la science reste lettre morte tant qu'elle n'est pas suivie d'une application pratique, je concluais souvent mes recherches théoriques par cette question : "A quoi cela sert-il ?""

A quoi ça sert ? Cette fois la réponse est excitante : à sauver des vies.

Le médecin "hérétique", qui n'aime jamais tant avoir raison que contre ses semblables, est guidé par deux convictions. D'abord, on peut survivre au-delà des limites communément admises : "Les physiologistes ne tenaient souvent pas compte de la puissance de l'esprit et de son influence sur les réactions du corps, influence pourtant attestée par les jeûnes de Gandhi..." Ensuite, la peur tue.

Se penchant sur les naufrages célèbres, de la Méduse au Titanic, Bombard juge que nombre de décès ne peuvent être attribuées ni à la faim, ni à la soif, ni à la noyade : "Naufragés des légendes, vous êtes morts d'épouvante." Il serait injuste de tenir grief au jeune interne de 1951 d'avoir sous-estimé la puissance létale de l'hypothermie, encore mal connue à l'époque

Quand il raconte aujourd'hui les prémisses de son voyage, Alain Bombard s'étend longuement sur un aspect resté en retrait de son livre : son amour de l'eau. Depuis ses vacances d'enfance en Bretagne, il est homme-poisson : "J'ai 80 ans, j'ai failli laisser ma peau dans un accident de santé, mais je peux encore nager 3 kilomètres !", dit-il avec un sourire gourmand, qui creuse ses joues de fossettes et découvre deux incisives rondes comme des coquillages.

La nage est un aspect important, intime, de sa passion pour la mer, qu'il intègre à sa démonstration. "A 23 ans, j'ai nagé de Boulogne à Calais, 58 km, sans me graisser le corps. A l'arrivée, j'avais une soif psychologique terrible. J'ai demandé une carafe d'eau dans un café, je n'ai bu qu'un demi-verre ! Par contre, pour traverser la Manche, j'avais dû m'enduire de lanoline, de saindoux et de vaseline : j'ai bu six litres !" Alain Bombard en déduit qu'on s'hydrate dans l'eau de mer, ce dont il trouve confirmation dans des traditions polynésiennes. Et cette confiance dans la mer nourricière lui permet de briser un tabou. Surpris par une panne de moteur sur un Zodiac au large de Boulogne, il dérive pendant trois jours. Dès le premier, il avale de l'eau de mer, en petite quantité, et évite la déshydratation, contrairement à son compagnon.

L'idée du voyage est née : la mer peut, en dernière urgence, fournir au naufragé sa boisson. Peut-elle suffire à le nourrir ? Pour le démontrer, il faut se faire naufragé volontaire.

Bombard se rend alors au Musée océanographique de Monaco, où il entreprend des recherches sur les différentes espèces de poisson, la composition de leur chair crue, la manière de les pêcher, de les inciser pour en extraire le jus qui sera la boisson de base.

En quelques mois, il a réuni les termes de son équation : on peut passer moins de dix jours sans boire et trente sans manger ; absorber 80 centilitres d'eau de mer par jour pendant cinq jours avant de risquer une néphrite ; et combattre le risque de scorbut en mangeant du plancton, qui fournira l'indispensable vitamine C.

Partir traverser l'Atlantique avec ce seul bagage est une idée un peu foutraque, puisque, si le poisson ne mord pas et qu'il ne pleut pas, la survie est problématique au-delà d'une semaine. Mais le jeune médecin croit en son étoile et convainc assez de monde pour lancer son galop d'essai en Méditerranée.

Le 25 mai 1952, à 5 heures du matin, il se fait remorquer au large du port de Monaco sur l'Hérétique, un Zodiac de 4,65 mètres, bâché et gréé d'une petite voile d'optimist. Un marin anglais de rencontre, Jack Palmer, a accepté d'être son compagnon et son navigateur.La première étape, jusqu'aux Baléares, justifie toutes les craintes. En dix-huit jours de navigation erratique, au gré des courants, des grains et des longs calmes plats, l'Hérétique atteint son but, mais à quel prix. Pendant les deux premières semaines, Bombard n'a pêché que deux mérous. Se jetant à l'eau, il a harponné un thon, mais, note-t-il, "j'ai bien failli être pêché par le poisson." Le quatorzième jour, un cargo s'est dérouté pour fournir un ravitaillement d'urgence aux deux marins écœurés de plancton. Optimiste, Bombard dresse pourtant un premier bilan encourageant : "Nous avons bu de l'eau de poisson quatre jours, et de l'eau de mer [dont six d'affilée]. Les urines ont été normales, il n'y a pas eu de sensation de soif. Ni diarrhée ni vomissements, mais une constipation opiniâtre."

Et le jeune interne, qui tient son sujet de thèse de médecine, poursuit son check-up : "La faim se manifeste de la façon suivante : douleurs à type de crampes à irradiations antérieures aux deux épaules le premier et une partie du deuxième jour. Le troisième jour, ces douleurs cessent et font place à une somnolence et une fatigue permanentes." Après un aller-retour à Paris pour voir sa fille qui vient de naître et convaincre ses commanditaires hésitants, le naufragé volontaire se sent prêt pour le grand saut. L'Hérétique est convoyé par cargo jusqu'à Tanger. Palmer hésite, mais rien ne peut plus arrêter Bombard. Le 13 novembre, il s'engage dans le détroit de Gibraltar et met le cap sur l'Atlantique, seul à bord de son canot gonflable. Et sans avoir, de sa vie, utilisé un sextant.

Quand, cinquante-deux ans après ce voyage mémorable, nous avons demandé à Alain Bombard quelle incroyable motivation l'avait poussé à tenter ce coup de poker solitaire, il est revenu à sa démonstration : "J 'ai prouvé que l'homme est faible, mais que s'il a un moral de fer, il résiste." Et il a raconté l'histoire d'un groupe de résistants déportés à Buchenwald : "La moitié sont morts de désespoir lorsqu'ils ont compris que les SS avaient confisqué les lettres qu'ils avaient été autorisés à envoyer à leur famille." Surpris par ce pas de côté, nous l'avons interrogé encore sur ce souvenir. Et Alain Bombard a raconté longuement l'histoire de "Cortibar et Bronciato". "Cortibar", c'était son ami d'enfance, Dominique, fils de l'éditeur José Corti. Et "Bronciato", lui-même.

En 1944, Dominique a été déporté dans l'un des derniers trains pour l'Allemagne. "On est allé l'attendre au Lutétia avec sa mère, dit-il. Mais il n'est jamais revenu." Il raconte aussi avoir fait le voyage dans les camps de concentration libérés pour tenter, en vain, de retrouver son ami, et se souvient d'un déporté "tué par une boîte de corned beef." Alain Bombard refuse de faire un lien entre cet épisode et son aventure de 1952, où le jeûne tient une place centrale. "Non, ce qui a tout déclenché, c'est le choc des marins noyés dans le port de Boulogne." Et ce besoin forcené d'achever sa démonstration, contre tous les sceptiques.

Dans l'Atlantique, après son désespoir du 6 décembre, le naufragé a eu la chance de croiser la route du paquebot Arakaka, qui l'a accueilli à bord pendant une heure et demie. Le capitaine lui a annoncé sa position correcte, rectifiant une erreur de navigation de 600 miles. Bombard a accepté un repas : "Un oeuf sur le plat, un petit morceau, un très petit morceau de foie de veau, une cuillerée de choux et deux ou trois fruits." Cette première entorse à son régime tout poisson, réveille une faim terrible. Dans les derniers jours de sa traversée, Bombard est terrassé par des crampes d'estomac, bâille, fait des cauchemars gastronomiques et maigrit à vue d'oeil. La réalimentation trop brutale a bousculé son organisme affaibli. A son arrivée à La Barbade, il aura perdu 25 kg et souffrira d'une sévère anémie. "Ce repas sur l'Arakaka a failli me tuer", dit-il.

En 2001, après son démâtage dans le Vendée Globe, Yves Parlier a fait seul des réparations de fortune aux Kerguelen. Puis il est reparti boucler son tour du monde : il a divisé son stock de nourriture en soixanre rations quotidiennes de 800 kilocalories, moins du quart de la normale. Bombard et les grands aventuriers faisaient partie de ses lectures d'enfance. "Adolescent, raconte-t-il, je faisais de petites expériences de survie qui me donnaient accès à des mondes interdits au commun des mortels. Je grimpais aux arbres, je dormais la fenêtre ouverte sans chauffage... Mais rien ne prépare au jeûne. Vous pouvez passer deux jours sans manger, vous ne connaîtrez pas cette sensation de faim permanente qui m'a hanté dès que j'ai repris la mer."

Quand il a compris qu'il n'était pas préparé à cette épreuve-là, Parlier a envoyé un télex à un psy puis, déçu, s'est fait lire, à la radio, les passages techniques de Naufragé volontaire. Il a pris le temps de pêcher et se souvient du bonheur de cette dorade coryphène de 85 centimètres attrapée au large du Brésil. Sur les conseils de Bombard, il a éclairé sa voile la nuit pour piéger des poissons volants. Depuis cinquante ans, des radeaux de survie nommés"Bombard" veillent à bord des bateaux de plaisance, enfermés dans des boîtes blanches, avec une trousse de pêche. Nombre de naufragés leur doivent la vie. L'Hérétique, lui aussi, a été plié dans une caisse. Trop endommagé pour rester exposé, il attend sa restauration dans les réserves du Musée de la Marine.

Une nuit, après soixante-cinq jours de mer, Alain Bombard a vu la lumière du phare de la Barbade se refléter dans les nuages. "J'ai ri, se souvient-il. J'ai pensé à tous ces cons qui avaient dit que mon projet était impossible."

 

Tournois de joutes languedociennes w juillet et août

Agde est le berceau historique des joutes languedociennes, tradition ancestrale et véritable institution ancrée dans l'histoire locale. Ces combats navals ponctuent l'été

  

Coupe de France de pêche au tout gros w 24 au 29 juillet

Sous l'égide de la Fédération Française des Pêcheurs en mer, ce concours a pour objectif de pêcher le maximum de poissons, en sachant que seuls ceux de plus de 100 kilos sont pris en compte

 

Fête de la mer w 30 et 31 juillet

Cette coutume bien ancrée, qui alterne moments d'émotion, de recueillement et de fête, est un hymne à la Méditerranée, dans la tradition des gens de mer : musique, joutes languedociennes, messe du souvenir et cérémonie en mer "série 14 et 18 pieds", rassemble près de 80 catamarans

 

Championnat de France Motonautique w 27 et 28 août

Ce "Grand Prix du Cap d'Agde" est une étape du circuit de la Fédération Française Motonautique. Il permet à tout plaisancier - pilote amateur ou confirmé - et possédant un bateau de production ou un prototype, de participer à une course motonautique officielle

 

Les Voiles de l'Espoir w 10 au 18 septembre

Cet événement a pour but d'offrir une belle aventure nautique à une soixantaine d'enfants de 7 à 16 ans ayant bénéficié d'une greffe et aujourd'hui en rémission ou guéris, en provenance de tous les grands centres de greffe des CHU français. Ce rendez-vous s'articule autour d'un programme de mini-croisières sur l'eau et d'animations à terre

 

Salon Nautique d'Automne w 28 octobre au 1er novembre

Pour cette 6ème édition, tous les bateaux sont à l'honneur : d'occasion ou neufs, de tous types et de toutes tailles. Un village d'exposants regroupe toutes les composantes du nautisme : accastillage, moteurs, voileries, assurances, financements…

Ce week end, je viens de procéder au carénage de mon voilier et il me semble important de faire ce petit compte rendu

Précisons que ces propos visent à l'amélioration de cette prestation essentielle pour le plaisancier car répétitive chaque année et délicate en soit pour des raisons techniques évidentes. Ils ne visent bien entendu personne en particulier.

Les points positifs relevés :

• Bon accueil des grutiers
• Bonne protection de la zone de manutention qui évite la présence de curieux en zone de manutention.
• Présence d’un assistant Sodéal sous l’autorité semble-t-il du grutier.
• Mise à part un démarrage laborieux du moteur du gros portique de manutention, l’engin s’est bien comporté. A noter que dans la journée du 4 juin, le même engin a manutentionné avec succès une très grosse vedette dont la masse devait être de l’ordre des 40 tonnes...

Les points d’amélioration détectés:

• Planifier les opérations de levage pour permettre au grutier de s’affranchir d’une situation stressante liée au fait qu’il tente de satisfaire un maximum de plaisanciers et professionnels de la zone technique au même moment.
• Bien respecter le positionnement des sangles, ce qui est difficile quand le grutier veut aller le plus vite possible pour ne pas trop faire attendre.
• La formation des assistants doit aussi être améliorées, on les sent assez gauches et peu expérimentés en la matière.
• Prévoir des protections jetables sur les sangles pour éviter des salissures sur les coques. Intercaler de simple bout de carton est suffisant. Ces cartons pourraient être proposés à la demande par exemple et éventuellement facturés.
• Mettre en place le nombre d’équipes suffisantes pour réaliser les manutentions selon les divers plans de charge. Ce week end, par exemple, il semblerait qu’une seule équipe pour faire face au plan de charge ait été insuffisant. Ce point d’organisation devrait se régler si une réelle planification des moyens était envisagée.
• Contrôler le graissage des câbles de manutention

Pour conclure, bien que la situation se soit améliorée, notamment au niveau de l’état des engins de manutention, il reste encore à traiter un aspect qui semble tout aussi important, l’aspect humain du personnel qui travaille à cette tâche.

Il est important que le grutier puisse travailler dans de bonnes conditions et qu’il soit le moins stressé possible pour faire ce type de travail.

On se doit donc d’être à son écoute pour que ce travail aux responsabilités importantes soit réalisé dans de bonnes conditions.

Une inquiétude est actuellement, perceptible par l’utilisateur « plaisancier ».

22 mètres 50, l’eau n’est pas très claire et plutôt fraîche, au large de Brescou nous planons lentement au dessus d’un champ de gorgones oranges parsemé de cérianthes – ces animaux au corps mou avec de beaux tentacules jaunes - quand soudain, surgie de nulle part, nous croisons le chemin d’une grande méduse. Sa nage tranquille nous permet de l’approcher mais – comme avec toutes les méduses - nous restons attentifs à ses longs filaments blancs d’autant qu’ils traînent sur près de 3 ou 4 mètres.

Son ombrelle de 30 cm de diamètre où rayonne une alternance de bandes marron et blanc cassé nous indique qu’il s’agit de l’espèce Chrysaora hyoscella, espèce commune en Méditerranée.

Nous en croiserons d’autres vers la surface, tout comme il y a quelques jours entre Rochelongue et le Grau d’Agde mais les pêcheurs professionnels les ont aussi observées à 60 mille au large.

Toujours aussi curieux, à partir de 4 à 5 mètres et jusqu’en surface, nous nous retrouvons dans une quantité impressionnante de petits animaux souvent translucides, parfois des centaines au mètre carré ! Le masque collé à ces créatures nous révèle des formes bizarres ou plus communes telles ces méduses miniatures.

Et des phénomènes étranges aussi comme ces iridescences dans les couleurs de l’arc en ciel développées par réfraction de la lumière sur les bords de ces étranges animaux. qui appartiennent à l’embranchement des Cténophores.
Nous sommes en présence de plancton, de zooplancton plus exactement qui a du profiter de courants ramenant ces habitants du grand large à la côte. Car ce « bloom » a concerné toutes les côtes agathoises, des Battuts à la Roquille où la limite plage – mer était couverte de petites méduses toutes rondes ou agglomérées pour former une sorte de pâte un peu visqueuse qui se désagrègera vite avec l’action du vent, du soleil et des vagues.

L’observation en mer n’étant pas suffisante, des compléments ont été apportés par les photos sous-marines et par une autre « plongée », dans les bouquins de biologie marine cette fois, pour essayer de déterminer ces espèces complexes.
C’est alors que les formes bizarres ont pu être associées à des noms tout aussi bizarres ; Beroe ovata, Salpa democratica, Bolinopsis infundibulum, Hormiphora plumosa et bien d’autres encore dont plusieurs méduses parmi les 16 représentantes méditerranéennes.

Ces eaux troubles ont donc une raison : certes des fonds souvent vaseux mais surtout une grande richesse en microorganismes qui donne à cette partie de la côte Méditerranéenne tout son intérêt en biodiversité marine puisque ces espèces vont en nourrir d’autres comme les poissons eux-mêmes mangés par les mammifères marins par exemple ou les oiseaux de mer.

Ces campagnes d’observation en mer sont menées par l’équipe mer de l’ADENA : Aude, stagiaire universitaire, Sylvain, nouveau venu dans l’équipe, Mathieu et Renaud.
Elle bénéficient du soutien logistique de plusieurs membres du GEPPCA (Groupe des Ecoles de Plongée Professionnelle du Cap d’Agde) et des magasins Subchandlers. Elles s’inscrivent dans le cadre du Défi territorial sur la zone marine d’Agde et du Cap (aidé par l’Agence de l’Eau et le Conseil Régional) comprenant l’inventaire des richesses sous-marines du Cap d’Agde pour élaborer un plan de gestion global sur le milieu marin et des actions partagées concrètes de gestion à venir (mouillages respectueux de l’environnement, sensibilisation du public …).

Pour en savoir plus rejoignez nous au Week-End Bleu des 21 et 22 mai 2005 au Cap d’Agde pour rencontrer l’équipe mer de l’ADENA, découvrir affiches, dépliants d’information, fiches enquêtes espèces, vidéo, conférence diaporama sur les richesses sous-marines des eaux agathoises samedi 21 mai à 17h30 à l’Aquarium du Cap et découverte du sentier sous-marin dimanche 22 mai à 14 h (inscription au stand au Week-End Bleu).

ADENA
Association de défense de l’Environnement et de la Nature des pays d’Agde
Domaine du grand Clavelet 34300 AGDE
Tél : 04.67.01.60.23 adena-bagnas@tiscali.fr

Beaucoup de vent pour le trajet aller de 8 à force 11 avec des surfs à plus de douze noeuds...7 bateaux ont fait le déplacement dont 5 de la SORAC.

Les Catalans savent recevoir...deux jours de repos et visites, une grande réception et un retour difficile avec 5 bateaux de Catalogne.

Nombreux abandons sur casse...par fort vent du Sud au large...

Nous saluons la belle victoire de AR VAG appartenant à notre ami Pascal ALLILAIRE...

La rédaction d'Infocapagde salue la très bonne initiative de notre ami Thierry BOURRU, le dynamique Directeur de l'agence A2C, située quai de la Trirême au Cap d'Agde qui a procédé à une distribution publicitaire très astucieuse.

En effet, les plaisanciers viennent de recevoir un petit morceau de plastique imprimé, voir photo ci dessous, qui les informe d'une nouveauté concernant l'appel de sécurité vers le CROSS.

Jusqu'à maintenant, l'utilisation du téléphone portable n'était pas reconnue et seul le canal 16 de la VHF permettait de joindre les CROSS.

Maintenant, vous pouvez joindre les CROSS en composant le 1616 sur votre téléphone portable

Attention de veiller à n'appeler que quand cela est nécessaire. Les abus seront très préjudiciables à tous.

La liste internationale des mots permettant de transmettre les lettres sera sans doute aussi très appréciée.

Sans aucun doute, ce petit morceau de plastique trouvera sa place aux tables à cartes de nombreux plaisanciers de la station.

La rédaction a pris l'initiative de supprimer un message à caractère polémique dans le forum "Le café du port" afin d'éviter des dérives susceptibles de nuire à son image et à son indépendance.

Il faut savoir que les dirigeants de l'UPCA sont actuellement dans une situation très désagréable vis-à-vis de la Direction de la Sodéal.

Ceci amène à prendre conscience des difficultés à défendre les autres quand la démarche pourtant nécessaire et constructive est mal perçue des services parfois mis en cause.

L’UPCA n’est pas un syndicat et sa démarche vise plutôt à faire progresser les choses dans un esprit que les qualiticiens connaissent bien : la satisfaction du client évidemment pas à n’importe quel prix, c’est une question d’équilibre.

Le dispositif visant au fonctionnement régulier du Conseil Portuaire serait une bonne chose car cela favoriserait le nécessaire dialogue et cela apprendrait aussi à mieux se connaître et à s’apprécier.

Hélas, alors qu’il serait souhaitable que les divers acteurs se rencontrent, au moins une fois tous les trimestres, force est de constater à regret que ce n’est pas le cas.

Infocapagde, qui héberge l’UPCA depuis plusieurs années appelle tous les acteurs en cause à faire un effort de compréhension.

Il nous semble aussi que l’organisation rapide d’un conseil portuaire serait une évolution appréciable et appréciée.

Une petite révolution en matiére de sécurité des petits enfants.

Pour des raisons de sécurité et d'éthique, aucun test de gilet de sauvetage n'a jamais pu être effectué par des enfants. De ce fait, les tests de fiabilité n'ont jamais pu respecter à la lettre les critères des normes de sécurité CE.

En avril 2000, le magazine suédois Vi Forëldrar démontre que les normes CE ne garantissent pas l'efficacité totale des gilets de sauvetage pour enfants en situation réelle.

L'Union européenne décide alors de lancer un vaste programme de recherche en vue de développer une nouvelle génération de mannequins semblables à ceux utilisés pour les tests automobiles.

Le mannequin "Bambi" utilisé pour ces nouveaux tests, a montré le plus clairement possible que les gilets de flottaison disponibles sur le marché étaient bien en deçà des critères de self-righting, de stabilité et de franc-bord.

Photo NUTEC Helly-Hansen

A la connaissance de ces résultats, Helly Hansen avec l'appuis du NUTEC , s'est immédiatement mis au travail afin de développer une nouvelle génération de gilets de sauvetage pour les jeunes enfants :le système KIDSAFE.

-Grâce à sa forme en quille de bateau le gilet devient instable lorsqu’il est positionné du mauvais côté.

-Le grand col permet aux voies aériennes de rester hors de l'eau.

-Le gilet garantit une grande stabilité lorsque l'enfant flotte sur le dos.

-Une large ceinture dorsale et une culotte sous-cutale favorisent un bon maintient, en cas de chute.

-Une poignée intégrée dans le col facilite le repêchage rapide de l’enfant.

Il existe en 2 tailles :

pour les bébés de 5 à 15 kg

pour les enfants de 10 à 25 kg

Homologation CE "EN 395" gilets de sauvetage 100N

La rédaction Infocapagde a été informée dès l'événement mais un problème informatique et une indisponibilité du Webmaster nous ont fait prendre un retard dans la mise en ligne....Mille excuses.

Notre amie Michèle Sotto a été témoin le 03 Février 2005 au matin, d'un acte d'incivisme visant à rejeter sciemment des déchets dans le port du Cap d'Agde.

Des photos ont été prises, les voici : 

Le responsable de cette pollution est un professionnel.


Il s'agit de la société Assainissement 34 à Villeneuve lès Béziers

Nous vous invitons à leur faire part de votre indignation en téléphonant au 04.67.76.78.79

Nous transmettons cette information à la Sodéal en lui demandant si elle compte porter plainte contre ce comportement intolérable.

Nous n'avons pas encore de réponse officielle de la Sodéal à notre mèl, cependant Brescou, toujours bien informé, vient d'intervenir sur le forum : "Le café du port".  IL nous indique que la Direction de la Sodéal aurait porté plainte contre cette société.

Pour permettre à ceux qui sont loin de voir l'avancement de l'important chantier de construction des marinas de l'île St Martin, la rédaction d'Infocapgde vous propose un reportage photographique ( photos prises à la mi janvier).