En cette veille de Noël, nous aurons une pensée pour tous les marins qui sont en mer en cette période de fêtes de fin d'année.

Joyeux Noël à tous nos lecteurs.

Le voilier Thendara Photo Béatrix Kucera

Nous avons rendez-vous à 11h ce samedi au vieux port de Cannes avec Stephen, Capitaine d’un des 4 plus réputés FIFE.

« ALTAIR » est derrière la capitainerie, ses deux mats en bois émergent au dessus des Fly des Motors Yachts qui le précèdent. On a l’impression qu’ils sont plantés sur un énorme Mangousta.

Mais dès le Kevlar passé : l’apparition du bois. Que du bois partout, bois vernis, bois mat. Qu’il est beau au ras de l’eau, sa carène d’un blanc profond dégage une impression de vitesse. Nous laissons nos chaussures sur le quai à côté de celles des 7 membres d’équipage.

Nos têtes font des rotations rapides tellement il faut tout voir ; ça brille de partout.

Tout l’intérieur est en noyer, l’électronique est encastré et non voyante, elle n’apparaît qu’en nav. Tout paraît complètement comme à l’origine et pourtant il est à la pointe de la technologie embarqué ;climatisation, WC à dépression, 2 générateurs… tout est caché avec goût les TV sont dissimulées dans les placards, les wc ont gardé l’apparence d’origine et leur manipulation mais l’électronique est caché derrière.

Voir le reportage photographique

A 15 heures nous avons rendez vous avec Marcus, Capitaine de THENDARA à Antibes.

Sortir d’ALTAIR pour monter sur THENDARA, même pas blasé, que du vrai, du solide, les anneaux sur le mat en disent long sur l’huile de coude qu’il faut pour faire naviguer le bateau. Il a bien 4 winchs électriques mais interdit en régate ou 4 % de pénalité. Nos deux capitaines se connaissent très bien. Pour l’histoire THENDARA a gagné la classe aux dernières voiles de St Tropez, devinez qui était le deuxième ALTAIR bien sur ! Quand les quatorze équipiers se rencontrent au bistrot du quai à Cannes il y a des vannes qui fusent que peut-être le premier se serait aidé des winchs ! Tout cela dans un bon esprit revanchard pour l’année prochaine.

Cette ambiance conviviale et chaleureuse, il nous faut malheureusement la quitter. Nous restera que ces jolies photos que nous partageons volontiers avec vous.

Béatrix KUCERA

Bien que cette fortune de mer ne se soit pas passée en méditerranée, l'actualité maritime, c'est ce cargo échoué sur la cote bretonne.

Afin de vous apporter un éclairage autre que celui des grands médias toujours soucieux d'animer des polémiques, nous vous invitons à consulter le suivi AIS du navire. (carte ci dessus).

Le navire était mouillé à l'abri de l'Ile de Groix et n'a pas tenu son mouillage, ce qui arrive aux petites unités affecte aussi les cargos...

Cela a été de toute évidence assez vite...le navire étant lège, c'est à dire présentant une très importante prise au vent violent. Les deux lignes de mouillage n'ont pas maintenu le navire dans sa zone de mouillage.

Dans la photo ci dessous, vous pourrez apprécier les distances entre la cote et l'Ile.

Photo Philip Plisson

Fonctionnement de Jason-1. Crédits : NASA/JPL

Le satellite Jason-1 dédié à l’observation des océans vient de fêter ses 10 ans. Il aura contribué à assurer 20 ans de mesures continues des océans pour une meilleure compréhension de l’évolution du climat.

Le rôle majeur de l’océanographie dans le suivi du climat

Développé en partenariat CNES/NASA comme son prédécesseur Topex-Poséidon, Jason-1 a permis d’assurer la continuité des mesures océanographiques depuis 20 ans.

« Cette continuité est importante car les océans jouent un rôle clé dans la régulation du climat sur Terre » explique Juliette Lambin, responsable des programmes d’océanographie au CNES. Les océans couvrent en effet 70% de la surface terrestre et représentent 96% de l’eau liquide.

« L’avènement de l’observation par satellite nous a ainsi permis d’établir une ‘météo des océans’ en temps quasi réel sur tout le globe » ajoute-t-elle. L’observation de la température de surface, du vent, de la hauteur moyenne des vagues, et des courants permettant aux scientifiques d’étudier avec précision le lien entre océans et climat.

L’élévation du niveau moyen des mers constatée a ainsi été utilisée par le GIEC* comme une des preuves du changement climatique. Et le suivi en direct de phénomènes tels que El Niño ou le Gulfstream ont permis de mieux comprendre leur rôle dans le climat.

Une mission de référence

Lancement de Jason-1, le 7 décembre 2001, depuis Vandenberg en Californie par une fusée américaine Delta II.

Jason-1, construit à partir de la plateforme Proteus du CNES (l'ossature du satellite), est équipé d’un instrument principal : l’altimètre Poseidon-2, fourni par le CNES. Il bénéficie également de 3 instruments de positionnement ultra précis dont fait partie Doris, également fourni par le CNES.

« étalonné grâce à son prédécesseur Topex/Poséidon, Jason-1 a fourni dès ses débuts des données d’une grande précision » précise Juliette. Combinées à celle de Jason-2, en orbite depuis 2008, elles sont d'une grande fiabilité.

Lancé en décembre 2001 pour 5 ans maximum, Jason-1 a d’ores et déjà doublé sa durée de vie. Placé à 1340 km d’altitude, il est trop loin pour être détruit par une rentrée dans l’atmosphère. Son orbite sera donc bientôt abaissée de quelques km pour éviter tout risque de collision avec ses successeurs. Et en 2014, Jason-3 rejoindra Jason-2.

Les données de Jason-1 et Jason-2 sont traitées et diffusées par le service SALP, et disponible sur le site AVISO.

Référence de la source : Article publié sur le site du CNES le 07/12/11

Salon nautique de Paris

N'ayons pas peur des mots : l'Iguana est une révolution. Ce " bateau terrestre " made in France pousse encore plus loin l'idée de véhicule amphibie. Et on vous explique pourquoi (sympa, non ?).

L'Iguana est l'œuvre de la société Iguana Yachts, une société basée dans la Cotentin, entre le Mont-Saint-Michel, Chausey et les Minquiers. Une origine géographique qui a donné à l'Iguana tout son sens et qui a permis en grande partie à son créateur, Antoine Brugidou, de l'imaginer. L'idée étant de créer un véhicule amphibie qui ressemble VRAIMENT à un bateau une fois sur l'eau. Ce qui, en soi, est novateur…

L'Iguana est donc, d'abord, un beau bateau, au design hyper moderne, à l'esthétique renversante (sans jeu de mots, espérons-le). Les attributs terrestres de l'Iguana sont ainsi dissimulés dans les flancs du bateau, sans que cela perturbe l'ensemble esthétique que forme au final l'Iguana. Ingénieux.

Le concept Iguana est destiné à la plaisance grand public, mais pourrait aussi intéresser les secteurs des professionnels de la mer et militaire. Après trois ans d'études, de recherches et de fabrication, l'Iguana est actuellement présenté au Salon Nautique de Paris (jusqu'au 12 décembre).

François Grimpret

13h la brume a envahie le port. Son humidité nous tombe sur les épaules. le gros semi rigide se dirige lentement vers la mer ; nous ne distinguons pas le Fort Brescou. Nous arrivons à l’entrée du port sans avoir croisé âme qui vive, peu de vent, pas de mer.

Nous coupons le moteur et nous laissons gentiment dériver. Seuls nos feux trahissent notre présence.

Nous l’attendons. IL a largué les amarres de Hyères à 6 h ce matin et par Vhf il nous a donné son HPA 13 h.

Que le port est calme à cette saison; nous pourrions presque fermer les yeux et nous laisser aller à une petite sieste. Il est 13 h 15 quand un ronronnement sourd qui nous paraît lointain nous fait tendre l’oreille. Nos regards se croisent, pas un mot, nous savons qu’ il est là.

Gary démarre le moteur et avance doucement vers le feu tribord de l’entrée du port, nous restons tapi à l'abri de la digue, nous ne voyons même pas la lauze mais le grondement des 6000cv nous donne des frissons, il est là tout près mais invisible. Je sais que Jean Louis connait bien l’entrée du port, il est prudent il doit être en haut sur le Fly le nez dans les instruments.

La radio grésille c’est jl, il entre dans le port et comme au ralentie la proue du yacht sort de la brume. L’image est magnifique il est à 10 mètres de nous, lentement il se découvre, il est imposant. Et nous levons la tête pour apercevoir son capitaine, il nous aperçoit tout petit au ras de l’eau, il nous salue par un coup de corne et les bras vers le ciel. IL est la majestueux impressionnant dans sa robe blanche immaculé. Le doux bruit de ses machines ressemble à un concerto, bienvenu à « AMADEUS ».

Le port se traverse dans un grand silence, le yacht glisse sur l’eau sans une trace.
Compte tenu de son imposante taille Jean-Louis retourne le yacht et du bassin central jusqu’à la Trinquette navigue en marche arrière. Quelques promeneurs les yeux dans leur objectif mitraillent la manœuvre délicate. Le temps d’amarrer le semi rigide et AMADEUS est à sa place .

Béatrix KUCERA

Nouveaux catways sur le ponton H 2 pour « plaisanciers funambules »

Les catways classiques 60 cm de large de la panne H 2 ont été remplacés par des nouveaux catways a revêtement métallique de 18 cm ce qui oblige à se déplacer les pieds l’un devant l’autre, de même en descendant de son bateau ceux-ci débordent à l’avant comme à l’arrière.

Aller frapper une amarre à l’extrémité du catways relève d’un exercice d’équilibre et avec un peu de chance c’est le bain assuré. Le remplacement des 8 catways de 60 cm par les nouveaux de seulement 18 cm de largeur permet de gagner « 60 – 18 = 42 cm soit par 8 = 330 cm = une petite place. La rentabilité c’est louable mais pas au détriment de la sécurité des plaisanciers.

Maurice Seingier
Membre élu au Conseil portuaire

Depuis quelques jours sur France 2 est passé ce clip SNSM qui a lancé une campagne publicitaire en cette période de fin d'année.

On notera que ce clip a déjà été diffusé en 2010. Au prix de la minute publicitaire, espérons que cela rapportera plus que cela ne coûtera...

En cette période hivernale, préserver son bateau, c'est veiller à ce qu'il soit bien amarré. Il faut donc vérifier l'état des protections de coque et des amarres...

Ce logiciel de navigation est gratuit et a été testé par Infocapagde, nous vous le recommandons, il est fonctionnel.

Vous pouvez vous rendre sur le site OpenCPN pour le charger et le tester vous aussi. Nous ouvrons un fil dans le forum pour vous permettre d'indiquer vos retours.

Le 25 septembre à 17h17, coup de canon du départ de la Charente-Maritime/Bahia Transat 6.50 2011 : l’aboutissement pour moi de 2 ans d’efforts, de préparation et d’optimisation.

Pouvoir prendre le départ d’une telle course est déjà une victoire en soi, remportée grâce au soutien de mes proches, aux appuis de personnes compétentes et à la motivation partagée de cette belle équipe qui m’a entouré tout au long de mon projet.

Une pensée pour eux sur la ligne de départ, un dernier hommage à Jean-Marc Allaire et ça y est, c’est parti : 17h18, la horde de 80 ministes s’élance pour la première étape de la course, 1100 milles de navigation en solitaire pour rallier Funchal, capitale de Madère.

Dès les premières minutes je pressens que je suis plutôt bien placé, dans le paquet de tête…

Arrivé à la bouée de dégagement je suis en 7ième position derrière les prototypes et 1erdes séries : c’est énorme !!! Je réussis même à rester en tête de mon groupe les deux premiers jours de la course.

Mais très vite, suite à un mauvais choix tactique, je me retrouve en mauvaise posture dans le golfe de Gascogne. Trop près des côtes, dans une zone sans vent, je perds en très peu de temps plus de 30 places.

Heureusement, après le passage du Cap Finistère, je touche du vent d’Est plus rapidement que le reste de la flotte ce qui me permet une remontée spectaculaire : au classement final de la première étape de la course je suis 14ième.

Après 9 jours, 20 heures, 32 minutes et 10 secondes en solitaire sous une météo capricieuse je rallie Funchal.

Quelques jours de repos à Madère, et le 13 octobre à 13h22, c’est le départ, le Vrai. Celui de la traversée de l’Atlantique en destination de Bahia, au Brésil: 3100 milles dans l’inconnu, une navigation sans escale et sans assistance. Plus de 3 semaines de mer seul, à éviter les pièges de l’océan, à négocier le passage des Iles des Canaries, du Cap Vert, la redoutable traversée du pot au noir le tout pour finir au Brésil.

Incroyable traversée sur des bateaux d’à peine 6.50m de long, tout un programme !!!

Malheureusement, le sort en a décidé autrement. Après seulement 3 jours de mer, l’aventure s’arrête pour moi : au large des îles Canaries, dans la nuit du 15 octobre, mon mât cède au niveau de la première barre de flèche, après un empannage intempestif.

Un drame. Je ne l’avais pas imaginé comme ça. Je savais que la route serait longue et semée d’embûches, mais pour moi l’abandon ne faisait pas parti de mon programme : j’étais persuadé d’arriver au bout de la course.

Après avoir confectionné un gréement de fortune, deux destinations de repli s’offrent à moi : le Cap Vert, à 700 milles, une longue distance à parcourir avec l’avantage d’être poussé par le vent… ou les îles Canaries à 120 milles, plus proches mais annonçant une navigation difficile, contre le vent ?

J’opte pour les Canaries : après 5 jours à une vitesse moyenne de 1 nœud j’aperçois enfin El Hierro. Finalement un bateau sauveteur m’aide à rallier l’île en me remorquant sur 20 miles, jusqu’au port de l’Estaca…

Une fois à terre j’ai suivi la course côté spectateur. Plusieurs camarades ont également rencontré des soucis techniques plus ou moins graves : sur 79 concurrents , 18 abandons

L’édition 2011 aura été l’une des plus dures des transats.

Félicitation à tous ceux qui ont pu aller jusqu’au bout ! Et pour les autres… on y retournera, c’est sûr !

Je n’abandonne pas le mini, loin de là. Je suis déjà sur la préparation d’un nouveau projet.

En attendant, 2012 sera pour moi synonyme de navigation en équipage : j’entreprends le circuit méditerranéen des courses IRC sur un JPK 10.10… encore une belle aventure humaine en perspective.

Merci à la SODEAL, Sud Croisière, Nav’Elec et l’ENAC pour leur participation technique.

Merci à la Communauté d’Agglomération de Béziers Méditerranée et aux filiales du groupe Suez Environnement : la Lyonnaise des Eaux et Degrémont pour leur soutien financier.

Renaud Chavarria

Pas de répit pour les équipes de la SODEAL ! Alors que la zone technique était encore en pleine ébullition au sortir du Salon Nautique d’Automne, les équipes de la Capitainerie ont procédé ce samedi à la mise à l’eau d’un JPK 10.10 arrivé le matin même de Lorient !

Jean-Pierre Kelber (JPK) l’avait fièrement annoncé à Francois Alicot lors d’une visite de chantier et d’optimisation à Lorient en septembre: « Le bateau sera livré dans les délais ».

Le propriétaire de Zulù ne cachait pas sa satisfaction de pouvoir engager son JPK 1010 pour la saison 2012 de l’Union Nationale pour la Course au Large. Le dessin de carène de Jacques Valer a été pleinement optimisé et adapté aux dernières évolutions de la jauge IRC. Surface mouillée, élancements, conception du lest, centrage des poids, géométrie du plan de voilure. Chaque élément a fait l'objet d'une étude approfondie du cabinet d’architecte et de la Voilerie Elström (Francois Alicot est gérant de la voilerie Elström au Cap d’Agde).

Et Laurent Bourriquel d’ironiser « Le projet revêt une dimension européenne…on croirait l’assemblage de l’Airbus A380 ! la coque est fabriquée en Bretagne, le mat et la bôme en Roumanie, le gréement courant en Italie… ! Heureusement que les voiles sont faites au Cap d’Agde ! ».

Le bateau sera baptisé « ZULU », comme le Sun Fast 3200, avec lequel il a remporté le Tour de Corse à la Voile, la Semaine de Porquerolles et terminé second des Voiles de Saint Tropez, de la Massilia Lexus Cup et l’IRC Méditerranée.

Le skipper s’est entouré d’un équipage constitué de Laurent Bourriquel, Frédéric Peyret, Alexandre Bruel, Michel Pawlak, Renaud Chavarria et Pierre-Philippe Marty, tous membres de « Cap Voiles Sportives ».

Le programme 2012 est basé sur le circuit IRC Méditerranée organisé par l’Union Nationale pour la Course au Large.  Le Championnat comprend 12 épreuves dont 5 sont retenues pour le classement général.

L’équipage s’est fixé l’objectif ambitieux de participer aux plus grandes épreuves de Méditerranée : Rolex Middle Sea Race, Massilia Lexus Cup, Semaine Nautique Internationale de Marseille, Hyères Séries, Semaine de Porquerolles, Tour de Corse à la Voile…

Souhaitons que l’équipage agathois sache tirer le meilleur parti du « bateau de l’année 2010 », double vainqueur de la célèbre Rolex Fastnet Race...

Alexandre Bruel

HULLTIMO propose le premier robot d'entretien des carènes à flot pour naviguer toute l'année avec une carène propre.

Plus besoin de grutter ou plonger, le robot HULLTIMO s'adapte à tous les navires de plaisance.

HULLTIMO a été créée en 2010 par Eric TARDY et Sébastien FONTAINE afin de répondre aux difficultés des propriétaires de navires de plaisance pour maintenir leurs carènes propres tout au long de l’année.

HULLTIMO a réalisé une levée de fonds pour assurer l’industrialisation et la commercialisation de sa solution, auprès de structures d’investissements (Rhône-Alpes Création, A2DInvest, Crédit Agricole Alpes Développement, GEM Angels et Rhône Dauphiné Développement) et des acteurs privés.

Vous pouvez découvrir d'autres vidéos sur le site HULLTIMO

Sur Infocapagde, le site des plaisanciers des ports du Capd'Agde, il vous est possible de préparer votre prochaine croisière en quelques clics, de voir les distances à parcourir entre deux destinations par exemple.

Nous avons couplé cet outil avec la recherche des ports, vous verrez qu'à l'usage, c'est assez complémentaire.

En cliquant sur les petits triangles gris à gauche sous la carte, vous disposez d'informations complémentaires.

Le lien "Nettoyer la carte" remet la carte à zéro.

Lien : Calcul distance

Voici le premier Yacht géré par la Société Yachting Lodge basée au Cap d’Agde, qui a pris ses nouveaux quartiers sur le quai d’Orient à Sète le « M/Y Fantasy ».

La région et les dirigeants de Port Sud de France ont largement contribué à cette installation en aménageant, un quai de 318 m de long avec toutes les infrastructures liées à cette activité ; lignes 380V, parking privatif, espace couvert par la vidéo surveillance relié aux services de police.

Tout ceci dans un temps record compte tenu des travaux engagés.

A court terme deux autres yachts vont poser leur amarres sur le même quai qui peut en accueillir une dizaine.

Trois emplois directs sont crées sur Sète par cette activité et déjà les sous-traitants sétois se présentent avec leurs qualités et leur professionnalisme.

La mécanique de ces yachts est très proche des bateaux sur lesquels ils travaillent habituellement (thoniers et chalutiers).

YACHTING LODGE

Photo RDG -ADENA

Les mauvaises conditions de mer de ces dernières semaines ramènent à la côte de notre région des dauphins. Cela change malheureusement des nombreuses observations de cet été où plusieurs mentions de bancs de dauphins ont été récupérées par l'Adena.

Cet après-midi, c'est de nouveau un dauphin bleu et blanc qui s'est échoué sur la plage de la Roquille, au Cap d'Agde.

Alerté par des promeneurs et le SDIS 34, l'Adena, qui gère l'Aire Marine Protégée des posidonies du Cap d'Agde, s'est rendue rapidement sur les lieux pour ausculter et prendre des mesures de l'animal. Le jeune mâle de 1,70 m ne présentait pas de lésions particulières. Il peut donc s'agir d'un individu fatigué par les coups de mer répétés ou victime d'une maladie.

Parmi elles le virus Morbillivirus semble de nouveau affecter des échouages de dauphins sur les côtes espagnoles et peut-être françaises (car il y déjà plus d'une centaine de dauphins échoués en 2011 sur la côte méditerranéenne) mais sa détection ne peut se faire que dans un laboratoire spécialisé. L'Adena envoie les informations recueillies au GECEM, qui coordonne les échouages en Méditerranée et fait parvenir généralement les cadavres vers le laboratoire vétérinaire départemental à Montpellier.

La Ville d'Agde, partenaire de l'Adena dans la gestion des échouages d'animaux marins, doit procéder à son enlèvement. En attendant rappelons qu'il est recommandé de ne pas toucher les animaux échoués.

Renaud Dupuy de la Grandrive
ADENA, Aire Marine Protégée des Posidonies du Cap d'Agde
Domaine du Grand Clavelet 343 00 AGDE

Paul Wurtz est un plaisancier agathois passionné de voile. Ingénieur de formation, il a inventé un système Antivol pour Winch tout en Inox A4 (316 L).

Avec trois clefs de sécurité numérotées lors de l´achat, un code est donné et l´acheteur pourra recommander une ou plusieurs clefs en cas de perte.

Les serrures sont numérotées, le percage est impossible, une pointe de Wolframe empêche le sciage, il est impossible d´ouvrir avec une clef vibrante.

Pour winch: Harken, Barlow pas besoin de rondelle, pour Lewmar, Andersen etc, il faudra utiliser la rondelle jointe au kit.

Très attaché au site Infocapagde, Paul Wurth a souhaité contribuer au financement des charges fixes de l'association et nous a proposé de devenir un sponsor du site des plaisanciers du Cap d'Agde.

Un tarif préférentiel a été négocié pour les plaisanciers qui sont inscrits au site Infocapagde : le kit vous est proposé au prix exceptionnel de 140 €uros soit une remise de 50 €uros.

En fonction des ventes, Paul Wurtz s'est engagé a versé un don annuel à l'association Infocapagde.

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L'opération de mise à jour du site s'est bien déroulée hier soir et peu d'anomalies à l'horizon. Cette très bonne nouvelle est le fruit d'un très gros travail en amont.

Quelques photos de l'hérault ce matin avec son charroi de bois flottant...

Vigilance en navigation les prochains jours.

Lionel 

Jean-Pierre Perseguers Président APAC, Nicole Deffaux Web APAC et Philippe Revilliod Web Infocapagde

C'est maintenant l'heure du désarmement du salon nautique qui s'est terminé le 01 novembre et comme chaque année, il est difficile de percevoir si ce fut un bon salon ou pas pour les professionnels.

S'il est dit qu'il y a eu très peu de ventes, on accentue la morosité déjà bien entretenue par les grands médias, si on dit que les acheteurs étaient au rendez-vous et que les ventes ont été nombreuses, nombreux sont ceux qui en doutent.

Alors chacun se fera au risque de se tromper sa propre appréciation sur l'actuelle situation du nautisme et comme toujours certains ont fait de bonnes affaires d'autres pas. N'oublions pas que ce salon est avant tout une opération visant à soutenir l'économie et les emplois induits.

Coté organisation, l'effort qui a consisté à améliorer la logistique des conférences a été très apprécié.

Cette année, pour fêter nos 10 années d'existance sur le net, nous avions souhaité sortir de la virtualité et disposer d'un stand sous le chapiteau des exposants pour rencontrer nos très nombreux lecteurs. Nous remercions les organisateurs qui ont accueuilli favorablement notre démarche.

Infocapagde est une structure légère indépendante qui ne perçoit pour le moment aucune aide financière ce qui n'est pas sans poser quelques soucis.

Les nombreuses rencontres sur le stand dont la fréquentation a été assez importante, ont été très agréables et nous permettront de continuer à faire évoluer le site. Il est très important pour nous d'être à l'écoute de nos lecteurs.

Ce salon a permis aussi de finaliser la mise en route du Blog APAC qui rejoint ainsi le CNCA dont le Blog fait maintenant parti intégrante des sites références de notre station. Ce Blog sera animé par Nicole Deffaux.

Nous remercions aussi les plaisanciers qui ont rédigé des articles sur les conférences du salon, Maurice Seingier et Daniel Chery.

Dans quelques jours, vous pourrez aussi découvrir les photos de Béatrix Kucera dont les reportages sont toujours de qualité. Merci Béa.

Le site Infocapagde affiche 10 années de présence sur le net et pour fêter cet événement, nous avons le plaisir de vous annoncer que nous serons présents au salon nautique 2011.

Nous vous invitons à venir nous rencontrer  sur le stand Infocapagde sous le chapiteau principal des exposants.

Nous répondrons à toutes vos questions et espérons que vous serez nombreux à venir nous rendre visite.

Lundi 17 octobre 2011, les conseillers généraux étaient réunis à l’Hôtel du Département afin de délibérer sous la présidence de André VEZINHET, Député-Président du Conseil Général de l’Hérault. Au cours de cette session qui a duré toute la journée plusieurs questions traitées concernaient le canton d’Agde.

Ainsi, deux subventions départementales importantes ont été attribuées à des associations intervenant dans le milieu nautique.

La première d’un montant de 16 500 euros a été attribuée à la Société Nationale de Sauvetage en Mer pour le remplacement de la vedette du Cap d’Agde. Elle a fait suite à une aide déjà affectée d’un montant de 115 500 euros.

La seconde subvention a été accordée à l’Association des Professionnels du Nautisme. Elle s’élève à hauteur de 10 000 euros et s’ajoute à une aide financière d’un même montant.

Informations issues du Blog du Conseiller général Sébastien Frey